REFELEXIONS SIMPLES

"Interpréter n'est pas seulement traduire d'un langage à un autre langage, ni non plus fixer le sens d'une parole en signification thématisée. C'est permettre que le sens se meuve et circule sous les expressions diverses et multiples qu'emprunte le langage pour lui donner corps et vie." Marc-Alain Ouaknin. Concerto pour quatre consonnes sans voyelles. Pages 207-3§, PAYOT 2003

vendredi 17 août 2012

La Mort de Yohanan la Baptiseur

Messager de Béith-Lehem - La Maison du Pain
Par Justin Jules SIMBA, frère parmi les frères. Mardi 13 septembre 2005 à 02:38 sur Grioo.com


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Présentation.
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Prions d’abord et demandons au Seigneur nous assister dans ce message par son Saint-Esprit et ainsi écarter toute dissension afin que nous en soyons édifiés. Amen.

Ce message, le Seigneur me l'avait enseigné par son Esprit pendant que je traversais moi-même une période de grande tribulation et de faiblesse. Quand je dis «grande» tribulation, il faut la relativiser à ma personne, à mon expérience propre dans ma marche chrétienne. Puisque je sais qu’il y a encore plus grande tribulation que celle que j’avais endurée.

Il m'était d'abord destiné à moi-même personnellement. C’était dans une période aussi que je commençais à me relâcher un peu dans la foi et à me laisser aller...

Mais la Bible dit que le Seigneur notre Dieu réclame avec jalousie la plénitude de son Esprit saint et de sa Parole lumineuse, et de sa Sagesse, qu’Il a mise en nous. Surtout quand nous étions très proche de lui et que, de cette proximité, nous avions reçu beaucoup plus que d’autres et des choses que les autres n’avaient pas reçu, nous avons intérêt à en produire les fruits.

Le Seigneur, pour me montrer qu'il fallait que je me ressaisisse très vite, m'a ouvert les yeux pour voir en profondeur la vie de ce serviteur et ses actes, et de comprendre ce qui pouvait aussi m'arriver à moi, si je restais dans cette position. C’était terrible et j’étais saisi d’une grande crainte.

La Bible dit que "la colère de Dieu se révèle contre tout impiété et contre toute injustice des hommes qui retiennent la vérité captive." Romains 1:18-32.

Si donc nous sommes serviteurs de Dieu et que nous avons demandé à Dieu de nous révéler la vérité et qu'Il nous l'a révélée et que nous la gardons pour nous au lieu de la proclamer, nous sommes des impies, des injustes... Et il nous vomira de sa bouche...

... J'avoue que pendant une semaine, je n'arrêtais pas de pleurer. Et, à cause de cela, je suis même entré dans un jeûne de repentance et d’adoration profonde pendant quelques jours... Car c'était pour moi un avertissement personnel. 
 

Ainsi, estimant aujourd’hui que d'autres bien-aimés risquent eux-aussi de se retrouver dans la même situation que moi, je voudrais les en avertir en les exhortant dans ce sens. C'est pour cela que j'ai publié ce message la première fois le treize septembre deux mille cinq, après l’avoir longtemps gardé en moi même.

Il n’y a là dedans aucun procès, ni jugement contre le serviteur et prophète de Dieu, Yohanan le Baptiseur. Mais eu égard aux paroles même que le Seigneur avait prononcées sur lui par rapport à son attitude qui contraste gravement avec ce que Celui qui l’avait envoyé lui avait dit, le Seigneur m’a ouvert simplement les yeux pour comprendre que, après avoir tourmenté le diable, si je tombe dans la même erreur, alors le diable me détruira comme il avait détruit ce prophète. 

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Introduction
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Que YéShWa’ Ha MéShYa’, le Dieu de paix vous bénisse dans sa connaissance par son Saint-Esprit.

Je vous parlerai de Yohanan le baptiste. Est-ce que les paroles que je vais dire, sont les miennes ? Sont-ce le témoignage de Yohanan lui-même d'une part et les Paroles de YéShWa’, notre Seigneur, d'autre part?

En tout cas, je vous demande d’avoir devant votre Bible bien ouverte et, au besoin, de noter tout ce qui vous paraitra floue pour les commentaires ou pour une éventuelle discussion avec moi ou d’autres frères et sœurs sur ce sujet, de vous arrêter au besoin, pour prier et demander un éclaircissement au Seigneur.

Avant, moi aussi, le jour où j’avais eu ce message, je me suis dis, croyant m’être fourvoyé dans les méandres des nombreux mystères de la Parole : "Waouh ! Saint Yohanan Baptiste?"

Mais après une lecture profonde de la Bible sous les directives du Saint-Esprit, YéShWa, le Seigneur, m'a ouvert les yeux par sa grâce... En lisant, Il m'a fait remettre chacun à sa place et chaque chose dans son contexte évangélique propre.

Aujourd'hui, avec une grande conviction dans le Seigneur, je m'en vais donc vous parler de Yohanan Le baptiste, grand serviteur de Dieu parmi tous ceux qui sont nés de femme.

L'idée d'écrire cet enseignement, venait aussi de la réponse que je voulais faire à un frère sur un autre thème où il fallait parler de la foi de Yohanan baptiste. Mais vu tout ce qu'il y avait à dire là-dessus, j'ai préféré en faire un titre à part afin d'ouvrir cette révélation à toute l'Eglise de YéShWa’ Ha MéShYa’, le Dieu de toute Vérité. Amen.

Cette étude n'est pas une recherche historique sur la personne de Yohanan Baptiste. Je m’épargnerai de cette lourde tâche qui n’est pas de mon ressort. Mais si quelqu’un veut parler de son histoire ; gloire à Dieu : ici, je vais parler du témoignage que le Seigneur avait fait de Lui en son temps.

C'est juste une approche évangélique selon ce qui est écrit dans la Bible sur cet homme afin de nous exhorter dans notre marche avec le Seigneur. Car sa vie, son œuvre et sa mort, sont un enseignement pour tous les chrétiens afin que nous sachions affirmer notre fidélité en vivant en Esprit et confirmer notre engagement par la foi dans la Parole et dans l'œuvre de Dieu en YéShWa’ HaMéShYa’, notre Seigneur.

Ne cherchons donc pas et ne venons pas discutailler sur les esséniens, sur la véracité de son existence du point de vue historique, la vie de sa mère, de son père. Nous aurions pu le faire aussi. Mais nous ne sommes pas de professeurs d'histoire: nous sommes des serviteurs de YéShWa’ Ha MéShYa’ (YéShWa’ HaMéShYa’) pour le salut, je dis bien, pour le salut de nos frères et sœurs encore sous les griffes du diable d'une part, et pour notre exhortation mutuelle en vue d’édifier notre foi afin de savoir déceler les pièges du malin sans entrer dans son jeu pernicieux et fatal pour nous. Bonne lecture.

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1. Prophétie sur Yohanan le Baptiste.

Prophéties sur Yohanan dans l’Ancien Testament Esaïe 40,3-5; Malachie 3,1 et 4,5, accomplies dans le Nouveau Testament Matthieu 3,3 ; Marc 1,3 ; Luc 3,4 ; Yohanan 1,23 et que YéShWa’, le Seigneur, confirme cela dans Matthieu 11:14, je cite.

"Si vous le comprenez, c'est lui l'Elie qui devait venir..."

Et un ange du Seigneur envoyé à Zacharie, le père de Yohanan le Baptiseur, le confirme aussi, je cite:

" ...il sera grand devant le Seigneur...il marchera devant Dieu avec l'esprit et la puissance d'Elie... afin de préparer au Seigneur un peuple bien disposé..."

YéShWa’ aussi a témoigné sur lui à ses disciples. Matthieu 17:10-11.
Si l'envoyé de Dieu ne fait l'œuvre de Dieu, c'est à dire, s'il ne remplit pas sa mission conformément à l’ordre qu’il avait reçu, nul ne pourra reconnaitre qu'il est un envoyé de Dieu. Yohanan n'avait pas été reconnu, non parce qu'il a fait jusqu'au bout l'œuvre pour laquelle il était envoyé puisque tous allait vers lui pour se faire baptiser par lui (Matthieu 3, 510, Luc 3, 21), ainsi il a rempli sa mission de conduire le peuple à YéShWa’, son Seigneur, mais parce qu’il s’est mis à l’écart, loin de son Seigneur, quand celui-ci a commencé son travail... Nous le verrons plus loin.

Ainsi, ils l'ont traité comme ils l'ont voulu, selon les instigations du malin, et non comme Dieu aurait voulu... Amen.
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Ce que Dieu a dit à ses parents Zacharie et Elisabeth à son sujet:
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Sa conception:
Luc 1:5-25. Notez en passant le verset 15 à 17.


"...Il sera rempli de l'Esprit-Saint dès le ventre de sa mère...
Même dans le ventre de sa mère, il était rempli du Saint-Esprit: Luc 1:41-45.

Sa Naissance:

Luc 1:57-66. "... Que sera donc cet enfant là? Et la main du Seigneur était avec lui."

Son père Zacharie a témoigné en louant le Dieu de ses pères. Luc 1:67-80. Notez le verset 80. Jusqu'ici, nous nous rendons compte que Yohanan le Baptiste avait un destin particulier. Aucun homme, aucun apôtre n'avait ce destin. Nous savons comment le Seigneur les avait choisis, mais Yohanan le Baptiste, les prophètes ont parlé de lui, sa naissance fut annoncée en des termes qu'aucun autre homme n'a eu la grâce d’être ainsi annoncé...

Selon le verset 80 du chapitre 1 de Luc, dans sa vie d'ascète dans le désert, Yohanan avait entendu beaucoup des choses que la Bible ne nous dit pas, qui avaient contribué à sa croissance et à sa fortification spirituelle. Nous savons cela de sa propre bouche...

2.
Ministère et témoignage de Yohanan le Baptiste.

Luc 3:1-18. Matthieu 3:1-12. Yohanan 1:6-7 puis 15, puis 19-34. Il faut aussi bien noter ces paroles de Yohanan le baptiste lui-même, je cite:

"...Je ne Le connaissais pas, mais Celui qui m'a envoyé baptiser d'eau, Celui-là m'a dit, Celui sur qui tu verras l'Esprit descendre et s'arrêter, c'est Lui qui baptise du Saint-Esprit. Et j'ai vu et j'ai rendu témoignage qu'il est le Fils de Dieu…"

Ce qui nous montre que Yohanan, Yohanan le Baptiste, comme je l'ai dit plus haut, avait reçu des révélations pendant qu’il était dans le désert durant sa vie d’ascète. Dieu lui avait dit comment Il allait descendre sur terre et comment lui Yohanan allait le reconnaitre. Il était en effet le seul à avoir reçu les éléments pour pouvoir le reconnaitre et le monter à Israël afin qu'Israël qui le tenait pour un prophète puisse le suivre parfaitement, selon que l’ange l’avait dit.

"...il sera rempli du Saint-Esprit dès le sein de sa mère pour ramener plusieurs des fils d'Israël au Seigneur leur Dieu; il marchera avec l'esprit et la puissance d'Elie pour ramener les cœurs des pères vers les enfants, et les rebelles à la sagesse des justes, afin de préparer au Seigneur un peuple bien disposé..." Luc 1:14-17

3. Après avoir baptisé YéShWa’.

Après le baptême, Yohanan s’est bizarrement mis à l’écart avec ses disciples, loin de son Seigneur avec les disciples qu’il venait de choisir. Pendant un moment, il eut une grande confusion non seulement aux yeux du peuple d'Israël, mais même aux yeux du disciples. Il y avait deux groupes YéShWa’ avec ses disciples, d'une part, et Yohanan le baptiseur avec ses disciples aussi d’autre part.

Et le peuple juif ne savait plus que suivre dans cette situation. Même les disciples de Yohanan eux-mêmes commençaient à se poser des questions, voyant que les disciples de YéShWa’ aussi baptisaient. Mais le Seigneur lui-même ne baptisait puisque ce n’était pas son travail : il avait confié ce travail à quelqu’un qui n’était pas à ses côtés. Alors, il le donna à ses disciples de le faire à la place de celui qui avait en quelque sorte déserté.

 Et la question des disciples de Yohanan était précise. C’était une question touchant la purification et même question de savoir lequel des deux baptêmes, était le meilleur: celui de Yohanan ou celui qui il venait de baptiser, donc YéShWa’. Les disciples de Yohanan ne savaient plus quoi répondre aux juifs. Yohanan 3:25-26.

La Bible nous dit que Dieu est Celui qui baptise du Saint-Esprit et de Feu. Il avait donné à Yohanan d'abord et aux disciples de baptiser en son nom d'eau pour la repentance. Et Yohanan le baptiste était le premier des disciples que Dieu avait envoyé sur terre depuis le ciel avec l'Esprit qui avait agit dans Elie pour l'accueillir et le manifester à Israël. Il devait dans ce cas être le premier à suivre YéShWa’, mais voilà que son Roi est là, et Yohanan, après l’avoir baptisé comme convenu,  ne se met pas à sa suite.

C’est comme un ambassadeur qui sera envoyé dans un pays étranger et lointain devant son Roi pour lui préparer le chemin. Etant arrivé avant son Roi pour lui préparer le chemin, le jour où son Roi arrive, je pense qu’il doit être le premier à se mettre à son service – ou, certes il l’a fait le service -, et le suivre ensuite afin que tous voient sa soumission à Celui qui l’a envoyé, Celui qui baptise du Saint-Esprit et de feu comme il l’avait dit.

Il est resté dans son coin avec ses disciples, quand bien même que deux de ses disciples, dont André le frère de Simon-Pierre, suivirent le Seigneur suite à son témoignage. Yohanan 1:35-40. Et que va penser tout Israël.

Dieu avait permis en ces moments là qu'il ne soit pas encore mis en prison pour qu'il soit témoin de la confusion que son attitude créait et qu'il puisse réagir.

Mais au lieu de réagir en allant auprès de lui ou en l'appelant au secours, comme Pierre lorsqu'il avait senti ses pieds s'enfoncer dans la mer, il resta dans son coin avec ses disciples. Attitude dont le diable se régale. Quand un chrétien se met tout seul, s’isole dans son coin pour des raisons qui ne glorifient pas le Tout-Puissant, il est fragile…

 Regardons au Seigneur qui nous a envoyés, ne regardons pas seulement à la charge, a la mission qu'Il nous a confiée. Puisque chaque chose a son temps. Et le Seigneur seul sait quel temps Il a impartit à chaque chose. Il peut disposer autrement de nous selon son Esprit. Il faut que nous soyons alors attentifs, que nous soyons toujours à l'écoute dans la méditation de sa Parole et la Prière.

Si celui qu'Israël tenait pour prophète, n'avait pas suivi le Seigneur de gloire, pour quelle raison le peuple allait le suivre? Yohanan 3:22-26.

Il ne suffisait pas au baptiseur de parler après avoir vu et reçu HaMéShYa’ dans le Baptême d’eau, mais agir aussi en le suivant. Et sans action continue et constante dans le Seigneur, la foi n'existe pas.

Imaginons si, après avoir ainsi travaillé, qu’au jour où le Seigneur viendra, qu’un frère, ou une sœur d’ailleurs, puisse ne pas vouloir entrer au Paradis, qu’il puisse refuser l’enlèvement. Pas pareil, mais presque.

On prépare le chemin du Seigneur, et le Jour où il arrive, on le reconnait, puis basta. Qu’il se débrouille avec ses disciples ! Impensable ! Voilà la confusion qu’il y a eu un moment dans Israël.

 Car Dieu est dans sa Parole pour l'accomplir. La foi nous unit à HaMéShYa’ de sorte que nous devenons une seule chair. Et c'est Lui qui agit en nous. Une personne qui dit avoir la foi et qui n'agit pas, ment: c'est un religieux!

La Bible dit qu'Abraham crut Dieu, cela lui fut imputé à justice... Oui, il ne crut pas seulement en restant béatement dans sa position: mais, après avoir entendu la Parole de Dieu, il avait agi sachant que Dieu avait seul la puissance de ressusciter les morts... Voilà pourquoi cela lui fut compté pour Justice. C'est pour sa foi que nous disons que nous disons que nous sommes les fils véritables d'Abraham. Car nous sommes les étoiles du ciel que le Seigneur lui avait montrées dans la foi, Israël étant le sable de la mer dans la chair, accomplissant ainsi les deux volets de la promesse.

C'est ici que le Seigneur m'a fait comprendre ce qui peut être la conséquence d’une foi sans œuvres. Et après son dernier témoignage, le Seigneur permit qu'il fût arrêté et décapité.

Sais-tu, bien-aimés, que le diable a mis les têtes de tous les chrétiens véritablement nés de nouveau à prix... Il veut nous perdre... Ou c'est notre tête qu’il offre au monde sur un plateau d’or pour des futilités ou c'est sa tête que nous écraserons de nos selon la Parole de la sentence irrévocable de Dieu contre lui...
 4. L’arrestation de Yohanan
Le Seigneur était encore en Judée en attendant que Yohanan revînt à Lui pour recevoir à son tour son baptême, mais comme il ne venait toujours pas, le Seigneur ne pouvait attendre trop longtemps encore, et pour poursuivre son travail sans confusion, il "laissa faire" le malin qui arrêta Yohanan.

Il faut dire aussi depuis que Yohanan avait attaqué de front Hérode le tétrarque au sujet d'Hérodias, la femme de son frère, avec laquelle il couchait et pour toutes les mauvaises actions qu'ils avaient commises, le diable le cherchait... Nous avions vu telle situation aussi avec l'apôtre Pierre, qui, à cause de son entêtement était la cible idéale pour le diable: mais le Seigneur avait intercédé pour lui parce que malgré tout son caractère intempestif, Pierre était auprès de son Seigneur.

Lorsque je dis "laisser faire" ou "permettre" entre guillemets, c'est pour dire que lorsque nous désobéissons à la Parole de Dieu, nous nous mettons à découvert à la merci du malin qui peut nous faucher. Ce n'est donc pas Dieu qui permet, mais c'est la Parole de Dieu qui est une lame à double tranchant. Ou nous obéissons, nous avons la bénédiction, ou nous désobéissons et nous héritons des malédictions qui dorment dans le revers de la Parole.

Et dès que YéShWa’, le Seigneur apprit l'arrestation de Yohanan, il se retira en Galilée. Matthieu 4:12 puis au verset 17, nous voyons que HaMéShYa’ est entrain d'achever le travail de Yohanan: il se prépare lui-même un chemin... Et les premiers disciples qu'il s'est choisis, furent André, ancien disciple de Yohanan, et son frère Simon.


5. Le doute Yohanan et son blasphème

Matthieu 11:2-19 et Luc 7:18-35.

Dans Luc 7, au verset 18, Luc nous dit d'emblée, je cite :

"Yohanan fut informé de toutes ces choses par ses disciples."

Cela est confirmé dans Matthieu 11, 2. Pour nous dire que dans sa prison, il était au courant de tout ce que le Seigneur faisait, avant qu'il soit arrêté et même après. Connaissant Dieu, Yohanan savait aussi qu'étant le serviteur du Tout-puissant, qu'il ne devait pas être arrêté de cette façon là. Ce qui est vrai au moment où le Fils n’était pas encore glorifié. Et s'il avait été arrêté, ce qu'il y avait quelque chose d'anormal, d'où sa question auprès de YéShWa’, au vu de ses souffrances dans les fers, je cite:

"Es-tu celui qui devait venir ou devons-nous en attendre un autre?"

Et cela, au lieu que tout ce qu’il entendait puisse l’aider à se remettre en question, à voir sa position vis-à-vis de son Seigneur, tout ce qu’il entendait commençait à le faire douter. Il ne savait plus si c’était Lui qui devait venir, ou s’il fallait en attendre encore un autre… Il persista dans ce doute et envoya deux de ses disciples après de YéShWa’ pour lui demander, je répète:

"Es-tu celui qui devait venir ou devons nous en attendre un autre?"

C'est comme si, aujourd'hui un frère prêche la Parole de Dieu en proclamant le nom trois saint de YéShWa’, et demain je me mets à détruire ce même nom en me posant la question au milieu du peuple de savoir si c'était vraiment ce nom de YéShWa qui sauvait où il fallait utiliser un autre nom?...

La Bible déclare dans Actes 4, 12, nous le savons et je le cite :

«Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.»

Si nous ne le savions pas, c’était peut être autre chose. Mais nous le savons. Pareillement, si Yohanan ne le savait pas, c’était différent, mais il savait tout comme personne ne pouvait le savoir à part lui. Il avait eu cette grâce particulière avant que nous eussions cette grâce qui est commune à tous.

 Voyez-vous l'enjeu spirituel qui était en présence pour empêcher cette mort atroce de Yohanan. Et cela ne dépendait que de lui, Yohanan, qu’il tourne ses regards vers son Seigneur et Dieu.

Je ne sais pas si vous voyez la position de Yohanan, la position du Seigneur et la position du diable. Et dites-moi que, si vous ou moi, nous étions à la place de Yohanan, le malin n'aurait pas eu le savoureux loisir de nous faucher en ces moments librement puisque, loin de YéShWa’, notre Seigneur, nous aurions perdu toute protection spirituelle.

Le doute de Yohanan après toutes les révélations qu’il avait eues pour reconnaitre le Messie, c'était ce qu'on peut appeler "blasphémer contre le Saint-Esprit", c'est qu'on peut appeler "cracher sur le Seigneur".

En disant cela, Yohanan faisait passer l'Esprit de Dieu qui lui avait donné tous les signes qu'il avait vu s'accomplir, pour menteur. Aux yeux de ses disciples d’abord et aux de tout Israël.

"Es-tu celui qui doit venir ou devrons-nous en attendre un autre?"

Cette parole avait trotté plusieurs jours dans ma tête sans que je puisse l’enlever. Et j’étais constamment en larmes quand je mettais mes genoux au sol pour adorer. Pour me confirmer le message qu’il voulait que j’entende de mon cœur et que je saisisse dans mon entendement, il me renvoya dans Matthieu 7, 21-29 ; 25, (31)41-46.

« … Plusieurs me diront en ce jour-là: Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé par ton nom? N’avons-nous pas chassé des démons par ton nom? Et n'avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom? Alors je leur dirai ouvertement: Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité…»

Dans d’autres traductions, ils diront : «Retirez-vous de moi, travailleurs de désordre.»

Mes frères, mes sœurs, tous ces gens, avaient travaillé au Nom de YéShWa’. Ils avaient fait des miracles au Nom de YéShWa’, ils avaient opéré des prodiges, qui avaient, je pense, aussi « édifié » leur communautés, mais le Seigneur leur dit : «Retirez-vous de moi, je ne vous ai jamais connus ! »

Il s’agit de connaitre YéShWa’ et d’être connu de Lui. Amen. Posons-nous alors la question, mes frères et sœurs, de savoir en quel Dieu nous croyons? Sincèrement. On ne rigole plus là. Sommes-nous vraiment des serviteurs de YéShWa’ HaMéShYa’? Pouvons-nous renier, peut-être le mot renier est un peu plus fort, pourrions nous douter de notre Seigneur comme Yohanan l'a fait...

Oui, frères et sœurs, c'est possible si nous ne faisons pas attention et nous nous fions à nos acquis. Regardons le ministère que le Seigneur nous a confié, certes, mais en gardant nos yeux, nos cœurs et nos âmes et toute notre foi dirigée vers le Très Haut...


Le Seigneur avait dit à Pierre que le Saint-Esprit allait le conduire là où il n'aurait pas voulu aller... Yohanan 21:18

Sachons que cela est écrit pour nous afin que nous fassions très attention, et que notre foi soit active en suivant les directives du Saint-Esprit...


Ne nous reposons pas sur notre prétendue foi, mais si nous pensons avoir la foi, mettons la Parole de Dieu en pratique pour la seule gloire de Dieu et le salut des autres. Agissons pour la gloire de Dieu et le salut des autres. C'est comme cela que le Seigneur pourra accomplir sa Parole qui sort de notre bouche pour la gloire de son nom et pour le salut des autres. Sa volonté en effet est que tous soient sauvés et parviennent à la connaissance de Dieu.

Et, au verset 21 du chapitre 7 de Luc, nous lisons que dès que YéShWa’ eut entendu la demande de Yohanan... L'Esprit-Saint s'activa en Lui comme pris de colère en guérissant sur le coup plusieurs personnes infirmes, possédées et aveugles. Puis Il se retourna vers les deux disciples de Yohanan et leur dit, je cite:

"Allez rapporter à Yohanan ce que vous avez vu et entendu: les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent, la Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres. Heureux celui pour qui Je ne serai une occasion de chute!"


Parce que, frères et sœurs, Le Seigneur était devenu pour Yohanan le baptiste une occasion de chute. Qu'est-ce que nous devons comprendre par là ?



Le Seigneur sonde les reins et les cœurs, bien-aimés. Yohanan était un homme comme vous et moi, à qui le Seigneur avait mis la capacité de l'esprit qu'Il l'avait mis en Elie le prophète afin d'accomplir la mission particulière que celle de préparer le chemin de son Seigneur dans les cœurs de son Peuple.

C'est un travail spirituel qui doit être fait selon les directives spirituelles précises de Celui qui nous envoie. Notre travail ne s’arrête pas quand le Seigneur vient, mais quand il vient, notre place est auprès de Lui, notre travail est avec Lui, en Lui, et non loin de lui, à l’écart, dans notre coin.

Je pense que lorsque je suis ambassadeur plénipotentiaire d'un état et que je dois préparer la visite du chef d'état de mon pays, comme je l’ai dit plus avant, quand celui-ci arrive, c'est moi qui dois être le premier à le recevoir et le suivre partout où il ira... Non? C'est ce que Yohanan le baptiste devait faire. Comme cela, tous les juifs qui le tenaient pour un prophète de YéWa’ Shaddaï, allaient aussi suivre ShWa’... En fait beaucoup seraient sauvés, si pas tous....

N'oublions pas, le témoignage en parole et le témoignage par les œuvres sont liés et indissociables. La foi appelle les œuvres de la foi qui est l’accomplissement de la volonté de Dieu. La volonté de Dieu ne peut s'accomplir que par ceux qui ont la foi véritable... "Ce sont là les adorateurs que le père recherche..."

Prions encore avant de continuer, bien-aimés. Que le Seigneur nous ouvre vraiment à la pénétration de ce message qui, je le sais, doit abattre beaucoup de préjugés au Nom de YéShWa’. Amen.



"Je vous le dis parmi ceux qui sont nés de femme, il n'y en a point de plus grand que Yohanan. Cependant, le plus petit dans le royaume de Dieu, est plus grand que lui..."


C'est le Seigneur qui prononce cette sentence sur la personne de Yohanan et son œuvre tout entière au verset 28.

«…  le plus petit dans le royaume de Dieu, est plus grand que lui..."

Est-ce que nous saisissons ce que nous lisons ? Ici, frères et sœurs, j’ai eu beaucoup de larmes. C’est comme si je venais de découvrir ce passage, alors que je l’avais lu je ne sais combien de fois. Je l’avais compris ce jour-là autrement, dans la profondeur de l’Esprit de la grâce, selon le message que le Seigneur voulait me faire entendre.

J’ai demandé que l’on prie tout avant d’amorcer cette partie, parce que ce passage est difficile pour tout serviteur qui sert fidèlement et sincèrement son Seigneur.


Dans le passage de Matthieu 11:7-15, le Seigneur appelle la violence spirituelle de notre foi. Il veut dire par là que, attachés solidement à Lui, notre force en vertu de son sang versé sur la Croix, nous prenions toutes les armes spirituelles de la foi que décrit l'apôtre Paul dans Ephésiens 6:10-20, et que nous puissions nous activer farouchement selon son Esprit et sa Parole à la divulgation de la Bonne Nouvelle pour le salut de son peuple.

Yohanan devait se réjouir avec l'Epoux, Dieu, donc YéShWa’, à qui appartient l'Epouse, donc HaMéShYa’ et l'Eglise de son Corps, comme il le dit dans Yohanan 3:29. Lui c'est l'ami de l'Epoux. Au lieu de se mettre à marcher avec l'Epouse manifestée dans la chair, il s'est tenu là loin d’elle. Et sa joie, bien que parfaite, fut brève.

Notre joie de rachetés, ô Dieu ! est brève effectivement  lorsqu'après t’avoir reçu dans nos cœurs, nous demeurons encore esclaves de nos péchés, de nos traditions, de nos coutumes, de nos pensées et philosophies !

Brève quand, après t’avoir connu et vomi tout ce qui ne confessent pas ton nom, nous retournons sur ces choses que nous avions vomies !


 Nous devons vraiment suivre le Seigneur YéShWa’ conformément à son Esprit et à sa Parole, si nous voulons connaitre sa Gloire. Nous devons nous attacher à Lui, rester à ses basquets sans jamais plus le lâcher… Amen.

Je vous parle aujourd'hui de cette façon, mes bien-aimés, je ne sais pas encore pour quelle gloire le Seigneur a destiné ma personne, mais je suis que chacun de nous a du prix aux yeux de notre Seigneur qui ne veut perdre aucun membre de son Corps.

Et demain, lui seul sait exactement ce qu’il fera de chacun de nous. Mais, si nous demeurons en Lui, nous savons que nous témoignerons encore sur des grandes choses parce que nous avons foi en YéShWa’ HaMéShYa’. Je sais qu'unis en Lui conformément à son Corps et dans son amour, nous, vous et moi, unis en Lui, nous ferons des grandes choses. Et si nous demeurons toujours en Lui, dans l’amour, nous en témoignerons tous en son Nom Tout-puissant.


5. La mort de Yohanan le baptiste.

J'aime le passage décrit par Matthieu 14:1-12, par rapport aux deux autres dans marc 6:14-29 et Luc 9:7-9. Avant de parler de cette mort atroce de Yohanan le Baptiste, Matthieu nous donne un aperçu du comportement de l'attitude des gens à l'égard de YéShWa’.

Ils étaient incrédules, malgré tous les signes qu'ils voyaient et toutes les Paroles de sagesse qu'ils entendaient... Et juste après Matthieu nous dit qu'à cette nouvelle, c’est-à-dire, à la nouvelle la mort de Yohanan, YéShWa’ partit pour se retirer à l'écart dans un lieu désert. Tout ce qu’il entendait au sujet de Yohanan le mettait dans un état de tristesse... Et Il continua son Ministère.

Si nous regardons très bien le motif pour lequel le malin avait fait décapiter Yohanan, c'est vraiment absurde. C'est juste pour faire plaisir à une putain et sa fille. A ses yeux, aux yeux du diable, nous ne sommes rien que de la chair à bouffer. Alors que pour notre Seigneur, nous sommes d’une préciosité telle qu’il nous a tant aimés au point de donner en conséquence son Fils unique pour notre vie éternelle.
Lorsque nous qui avons la foi, nous nous activons, nous tourmentons le malin, et ne lui donnons aucun repos, à telle enseigne qu’ils ne savent plus où aller.

Dès qu'il s’évertue d’entrer dans un homme, nous annonçons à ce dernier l'Evangile de son salut et la personne est sauvée. Et l'esprit du malin perd son logement... il devient un sdf spirituel... Et il ne peut rien faire contre nous parce qu'il voit le feu du Tout-puissant, la Lumière de Très-Haut en nous, la Gloire du HaMéShYa’-YéShWa’, en vertu de l’œuvre de la croix.

Il fera tout pour nous faire tomber avec toutes sortes de tentation. C'est pourquoi nous devons être attentifs dans l’humilité et prudents. Matthieu 10, 16. Il rôde comme un lion rugissant cherchant qui il va dévorer.

Soyons en HaMéShYa’, travaillons en HaMéShYa’, demeurons en HaMéShYa’, couvert dans son sang, enlevés dans les lieux très hauts, à la droite du trône du Tout-Puissant, dans son sein, dans la Parole qui est dans son sein, en qui nous sommes.

Avec quel acharnement croyez-vous qu'il va nous happer si nous trainons loin du Seigneur pour nous larder, nous décapiter, voire nous détruire lorsqu'il verra que nous avions renié le Seigneur, que nous sommes éloignés de Lui, que nous marchons loin de Lui et en désordre… et que, dès lors, nous sommes sans protection?



C'est pourquoi il est dit de prier sans cesse les uns pour les autres afin que la nuit ne nous surprenne pas avec notre péché. La repentance... La repentance... Ce n'est pas un vain mot. Chaque jour, selon le modèle de prière, faites pénitence devant Dieu en Esprit et en Vérité, demandez pardon à Dieu et invoquez le sang du HaMéShYa’ afin qu’il nous purifie et que le malin n’ait pas accès. Ce n’est pas devant un prêtre, mais devant son Dieu dans son intimité personnelle avec le Seigneur YéShWa’ HaMéShYa’.

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Conclusion
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Pierre, comme j'ai dit plus haut était aussi la cible de Satan, mais le Seigneur avait intercédé pour Lui. Pourquoi? Parce que Pierre malgré son entêtement était resté auprès du Seigneur¨, parce que Pierre avait placé sa foi dans le Seigneur.


"Seigneur, viens à mon secours, s'écria-t-il, je péris..."

Nous ne sommes pas parfaits, frères et sœurs. Dieu nous a appelés comme nous sommes. Ainsi, malgré cette imperfection de la chair, comme le roi David, montrons à YéShWa’ HaMéShYa’ que nous l'aimons, que nous essayons de bien faire en son nom en suivant la Parole de son Esprit, car il sait que nous sommes des hommes et, par surcroît, nés sous le péché.

Ce qu'il nous demande, ce n’est pas énorme. C'est d'être fidèle au jour le jour à Lui, YéShWa’, notre seul Dieu et Père et à HaMéShYa’, sa Parole d’amour qui nous unit les uns et les autres dans son même et unique Corps, de prier les uns pour les autres, d'intercéder les uns pour les autres, de nous soutenir les uns et les autres, de nous exhorter, de nous pardonner les uns et les autres de méditer et de partager sa Parole tous les jours et de nous repentir chaque fois c’est nécessaire, aussi de renouveler notre engagement aussi longtemps que nous pouvons le faire, de l’aimer Lui seul, de l’adorer Lui seul et de le servir auprès de nos semblables les hommes pour lesquels Il est mort.

Car li ne perdra aucun de ceux que Dieu lui a donné! Oui! Dans la mesure où ils restent attachés à Lui par la foi..?

Serviteurs de Dieu, ce message s'adresse donc à nous tous. Craignons notre Dieu et faisons sa volonté sans tergiverser. Laissons Lui prendre sa place dans les cœurs de ses fidèles et laissons lui le plein pouvoir de faire de son peuple ce qu’il veut pour la gloire de son nom. Amen!

"Il est nécessaire qu'il arrive des scandales mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive!"

Que le Dieu de sagesse vous bénisse en son nom YéShWa’ HaMéShYa’.



Frère Justin Jules Simba

Simple frère parmi les frères

vendredi 10 août 2012


«  Il n’y a de salut en aucun autre nom.
Car il n’y a sous le ciel aucun autre nom
Qui ait été donné parmi les hommes,
Par lequel nous devions être sauvés. »
Actes 4,12.

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Introduction
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Autopsie d’un monde à la dérive

C’est la crise. Partout, tout va mal. Et, au jour le jour, cela va en s’empirant, dans tous les domaines. Tous les hommes cherchent à tout prix à se mettre à l'abri des besoins, à protéger leurs enfants, leurs familles et tous les leurs. Chacun cherche à se démarquer des autres, à gagner beaucoup, beaucoup d’argent et ainsi devenir riche, très riche.

Tout le monde veut aussi être connu. Ainsi, la renommée est devenue le leitmotiv, le mot d’ordre pour la majorité des jeunes et de tous les hommes de ce temps tout court.

D’ailleurs, dans la société actuel, à tous les niveaux, on est bien ou mal considéré par ses amis, ses voisins et même par les siens, selon qu’on a plus des moyens, moins de moyens, ou pas du tout.

Combien des couples se «fracassent» quand l’homme perd son travail ou les moyens de subvenir aux besoins de sa famille ? Combien des femmes quittent leurs maris quand elles rencontrent des hommes qui leur promettent beaucoup d’argent, beaucoup de biens matériels en échange de leur amour ? Combien des hommes, quand ils commencent à gagner beaucoup d’argent, font autant en abandonnant leurs femmes, leurs enfants pour aller avec des femmes, des filles plus jeunes, plus belles qui ont une certaine renommée ?

Combien des beaux parents demandent à leurs filles de fréquenter ou pas tel garçon parce que lui-même ou sa famille n’est pas assez riche ? Combien demandent à leur fille de quitter, d’abandonner le toit conjugal, quand leur gendre ne gagne plus assez pour nourrir sa famille ?

Si je continuais avec des exemples similaires, quelques tonnes des bouquins ne suffiraient peut-être pas pour ma longue liste.  Juste pour dire combien le matériel est devenu une obsession pour les êtres humains qui ont justement été créés pour qu’il soit maître de la matière et savoir s’en détacher avec brio au besoin !

En somme, jeunes ou vieux, adultes ou mineurs, on se fait coacher désormais pour trouver comment faire valoir les qualités de son individualité pour ainsi les mettre en valeur. C’est une bonne chose, remarquez.

Mais là où ça devient une grave maladie spirituelle, c’est quand on s’entoure des «maîtres» pour découvrir comment mettre ses «bêtises», ses péchés en valeurs et, sur elles, bâtir sa vie. Je vous assure que ça vous fait un froid aux méninges à vous glacer la pensée, à vous la figer dans le temps et vous envoyer loin d’ici, ad patres, pour ne plus voir ce qui se fait en temps présent ici bas. Insupportable !

Heureusement que nous avons en nous, YéShWa’, le Seigneur et Créateur de toute chose qui nous réchauffe le cœur de ses consolations, en nous rappelant ce qu’il a fait sur la Croix et que nous avons en cela un grand devoir à accomplir sur cette terre dans son amour éternel agissant en nous pour le salut de tout homme. Amen !

Nous devons en effet être témoins de notre temps, comme le furent autrefois nos aînés dans la foi en leur temps, et proclamer à notre tour la Sagesse insondable et la Vérité immuable de notre Sauveur et Dieu, YéShWa’ le Messie, par la toute puissance de la Bonne Nouvelle concernant le salut de tout homme selon la prédication de sa croix. 

Nous devons donc supporter ces atrocités et vivre avec sagesse. Car les vraies qualités spirituelles, les nobles valeurs humaines tombent aujourd’hui en désuétude devant ces futilités, ces bêtises, ces erreurs, ces folies qu’on érige en exemple, en modèle devant la jeunesse, encore en proie aux choses de la chair, aux matériels et à tout ce qui frappe les regards. Les jeunes sont séduits par l’argent, la mode, les paillettes, les strass, par tout ce qui brille.

Mais ils ne comprennent pas encore que toutes ces choses sont éphémères et changent perpétuellement. Et que pour avoir une vie stable, il faut bâtir sa foi sur quelque chose d’une solidité éternelle.

Si jeunes, ô Seigneur ! et déjà ignorant qu’il existe un Dieu qui les a créés, qui peur les aider, qui peut les soutenir, qui peut les accompagner, maintenant, tout le long de toute leur vie et jusque dans l’éternité… Amen !

Comment voulez-vous qu’ils s’évertuent à chercher YéShWa’, sinon tout au plus à s’intéresser, si on vous rabat depuis votre enfance qu’il n’existe pas, que c’est une invention de l’homme-religieux, et qu’on ne peut compter que sur soi-même.

On leur enseigne que l’homme grandit quand il se mesure à l’obstacle,  alors qu’en vérité, quand l’homme affronte l’obstacle de sa vie, c’est son Créateur YéShWa’ qui lui donne toute la force, et toute la suffisance de vertu pour l’affronter et le vaincre. Et cela, même si l’homme en soi ne s’en rend pas compte. Quelle est alors la force de l’homme devant la mort ? Qu’elle est alors la volonté de l’homme devant la naissance.

Supposons que je sois un homme sans foi comme ceux-là, - je vais parler comme un homme, désolé-, si je confessais les faussetés horribles qu’ils confessent, si donc je connais la dureté de la vie avant de venir sur terre, si je savais que je devrais affronter toute cette misère de moi-même comme ils le disent, qu’il n’y aurait personne pour m’aider, alors que je n’avais rien demandé dans ce sens là, alors, j’aurais refusé de venir me casser la tête pour des broutilles sur terre. N’êtes-vous pas de mon avis ?
C’est bête que de savoir que tu vas dans un trou des ténèbres pour ta mort et de ne pas autorité sur la décision d’y aller ou pas… L’homme ne sait pas où il était avant de venir sur terre, il ne sait pas ce qui va se passer pour sa vie, comment cela va se passer, il n’a aucune décision sur l’être ou ne pas être, exister et où, dans quel endroit, dans quelle condition, pendant combien de temps… Et quand le temps de son existence est accompli, alors que malgré la dure réalité qu’il a vécue et qu’il n’aimerait revivre pour rien au monde, il n’a plus envie de quitter la terre, - encore un paradoxe ! -, une force le prend malgré lui, le diminue de toutes ses forces au fil des ans et l’envoie sous terre malgré lui… Et il ne peut rien y faire…

Mais YéShWa’, le Dieu Créateur de toute chose, sait tout cela. Il sait où l’homme était avant de venir sur Terre, puisque c’est Lui qui l’y avait mis. Il sait quand l’homme viendra sur terre, puisque c’est Lui qui décide de son être et de son existence, dans quel endroit, pour quel but, durant combien de temps, qu’est-ce qu’il faudra y faire… Et c’est aussi Lui qui, le jour venu, l’enlèvera de la terre pour le placer au repos, en attendant le jour du jugement, pour enfin savoir dans quelle éternité il sera selon ce qu’il aura fait en bien ou en mal.

Et il ne demande à l’homme que de lui faire confiance pour l’aider à faire le bon choix. Est-ce trop demander de la part d’un aussi Grand Dieu, qui n’a ni commencement, ni fin, qui n’a pas de généalogie, sans père, ni mère, qui est éternel le même et qui n’a pas changé depuis des siècles, des années, des millénaires, et depuis des éternités en éternités…

« En effet, ce Melchitsédek, roi de Salem, sacrificateur du Dieu Très Haut, -qui alla au-devant d'Abraham lorsqu'il revenait de la défaite des rois, qui le bénit, et à qui Abraham donna la dîme de tout, -qui est d'abord roi de justice, d'après la signification de son nom, ensuite roi de Salem, c'est-à-dire roi de paix, - qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n'a ni commencement de jours ni fin de vie, -mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu, -ce Melchitsédek demeure sacrificateur à perpétuité. Considérez combien est grand celui auquel le patriarche Abraham donna la dîme du butin. » Hébreux 7,1-4.

En fait, tout le monde cherche, de quelque façon que ce soit, à prouver aux autres et à Dieu – quoiqu’il pense qu’il n’existe pas –, qu’il est capable de réussir sa vie lui-même sans l’aide de personne, ni de Dieu. Au niveau des gouvernements du monde où l’on a banni Dieu de toute chose, de toute stratégie, cela se traduit de la même façon : on n’associe pas Dieu dans leurs décisions concernant les peuples, même si certains le font pour la forme.

Par exemple, prêter serment sur la Bible ou régir ou établir ses lois ou ses ordonnances sur les modèles de la Torah, de la Bible ou des autres textes sacrés. Selon mon entendement, je crois que vous l’aurais compris, au regard du peuple d’Israël ou des Juifs ayant la Torah, moi je considère tous les restes des peuples des nations comme des peuples sans-Torah, ceux de la religion musulmane sont compris.

Et ce genre de comportement, écarter le Créateur de toute chose, que nos systèmes éducatifs donnent pour modèle de société à toute la jeunesse mondiale. L’égoïsme n’a jamais autant été une valeur prisée par la multitude qu’aujourd’hui. Chacun pour soi pour embellir, enrichir sa propre vie. Paradoxal ? Non ?

Alors qu’une petite minorité arrive tant bien que mal à se sortir du lot, alors qu'à peine une poignée de personnes essaie de sortir quelques têtes de la mêlée, pataugeant dans la boue comme des anguilles dans la vase, la majorité, tenaillée elle aussi par les mêmes besoins de survie que ceux-là, par la même envie de réussir, puisque confrontée aux mêmes problèmes de la dure réalité des conditions de vie sur terre, se retrouve larguée au banc de la société malgré elle, condamnée au chômage, à la pauvreté, réduite presque à la mendicité auprès de l'assistance publique pour certains d'entre eux, abandonnée à la rue, à l'errance et à la violence en ce qui est de la jeunesse.

C’est la crise. Voyez-vous-mêmes. Je n'ai même pas à vous le dire. Il suffit de voir aujourd’hui autour de vous comment sont et vont les choses, comment les gens naissent, vivent et meurent. Une aigreur indéfinissable mais certaine se lit sur tous les visages. Les nerfs sont irrités, à vifs. A la moindre étincelle, tout peut s'enflammer, tout peut exploser.

A peine écloses, les entreprises tombent comme des mouches. Celles qui ont déjà fait du chemin, ont pour la plupart fait faillite entre temps et fermé. D’autres, n’arrivant plus à honorer leurs charges, se sont simplement délocalisées pour aller s’aérer dans les pays du Maghreb. Certains, pour les supprimer carrément, sont allées exploiter une main d’œuvre gratuite dans les pays en voie de développement – des pays depuis des décennies toujours sur le chemin ardu qui mènerait soi-disant au développement alors que sous la table des injustes négociations « bilatérales », ils se font piller leurs sous-sols avec la complicité de leurs dirigeants!-, où les notions de charges patronales, des droits de l’homme et du minimum vital, sont presque inexistantes.

Dans les pays développés mêmes où les retombées de la Technique et de la Science ont bouleversés la vie quotidienne des gens, à tous les niveaux, il n'y a plus d'emploi à créer quoique l'on dise et quoique l’on fasse.

Et, pour peu qu'ils en créent un, une foule de chômeurs afflue dans les heures qui suivent de telle sorte que, les quelques premiers arrivés étant servis, il ne reste plus rien pour les autres. Pas même une miette. Les entreprises, au regard de l’avenir incertain, hésitent pour embaucher et usent de leur droit en faisant travailler des agences d’intérim par à coup.

Le partage de temps de travail que tous prônent comme solution pour résorber en partie le chômage, n’est qu’utopie pour le patronat et encore des acrobaties infinies et inutiles pour les travailleurs, fatigués des promesses sans suites de leurs gouvernants. Sans compter le nombre des diplômes qui, après des années des privations, d’abnégation et d’efforts conjugués pour la réussite d’une vie, pourrissent dans des tiroirs poussiéreux des milliers de foyers.

Dans les pays du tiers monde, dans les pays continuellement sur le chemin escarpé du développement, c’est encore pire. Les maladies, la faim et la misère se serrent les coudes en festoyant sur les corps amaigris, presque cadavériques, ou même sur les dépouilles de ces malheureux hommes femmes, enfants et vieillards qui n’ont eu que le malheur d’être nés pauvres, et cela,  non seulement à l’indifférence internationale, mais aussi à l’indifférence de leurs voisins des pays frontaliers et des familiaux proches, amis, camarades de luttes, collègues de travail, fratrie, etc. Une situation qu’on ne pouvait il y a des décennies observer dans les pays africains, à cause de cette grande valeur qu’est la solidarité africaine, aujourd’hui en péril. Par exemple.

Au Nord comme au Sud, à l’Est comme à l’Ouest, dans presque tous les pays, seuls quelques hommes politiques corrompus et adorant presque leurs patries, quelques privilégiés des régimes dictatoriaux mis en place à la tête des pays « innommables » et soutenus par les politiques et les systèmes gouvernementaux occidentaux, font ripaille. Les plus forts, comme dans la jungle, écrasent les plus faibles. Bref, c’est l’article 15 comme on dit dans les tiers-mondes.

- Que chacun se débrouille, lancent certains leaders!
- La vie appartient aux lèvent tôt, disent les autres!
- Alors, tous les moyens sont bons, leur rétorquent leurs ouailles, pourvu que l’on y arrive!

Mais de son côté aussi, le Créateur de l’univers veut aussi protéger ses créatures. Il veut aussi les mettre à l’abri de tous les besoins et ainsi leur assurer un avenir meilleur.

Alors que le commun des mortels court dans tous les sens pour trouver solution à ces problèmes dont il ne sait même pas déjà pourquoi ni comment, alors que tout le monde mise sur tout pour solutionner tous ces problèmes en masse, endiguer cette crise, aucun ne pense en un seul instant qu’il y a un Dieu, Créateur de toute chose, et que c’est peut-être Lui qui a la solution pour empêcher toutes ces calamités de s’abattre sur l’homme et sur la terre. Aucun n’a la présence d’esprit pour penser dans ce sens.

Or, tous ces êtres humains ont été créés à l'image de Dieu par Lui, en Lui et pour Lui. Jean 1.

Mais aucun homme, créé à la l’image de l’Homme, à la ressemblance de HaMéShYa’, aucun des siens, aucun homme ne vient à lui pour être protégé de tous ces désastres qui s'abattent sur le monde. Aucun n’invoque son nom en vertu de son sang versé pour eux, alors qu’il leur avait été dit depuis bien longtemps par les bouches des vaillants prophètes, entre autres, je cite :

« Quiconque invoquera le Nom du Seigneur, sera sauvé ! » Joël 2,32 ; Romains10, 13.
« Quiconque croit en lui ne sera point confus. » Romains 10, 11.

Personne ne vient même pas à lui pour lui poser la question de savoir pourquoi ces choses ? Et comment faire ? Tout le monde vit comme si, non seulement Dieu n’existait pas, mais surtout, et c’est cela qui est vraiment plus grave, comme si il n’y avait pas de place pour un Dieu comme YéShWa’ dans tout l’univers. Ô Seigneur !

On fait l’éducation de tout, de l’infiniment grand à l’infiniment petit, du visible à l’invisible, mais de celui qui a créé toutes ces choses, rien : personne ne s’y intéresse… C’est l’affaire de l’église : et l’église, elle aussi est devenue telle philosophique, tellement terre à terre dans ses réflexions, qu’elle commence à douter elle-même de sa foi qui, au fur et à mesure devient croyance, car ne tenant plus, n’étant plus bâtie sur rien de solide capable de transmettre la vie.  

Mais la Théologie ne donne qu’une connaissance livresque et historique de la Bible et des acteurs en jeux que la Vie à ceux ou celles qui pensent y trouver réponse aux problèmes de la vie, de l’existence pour l’enseigner aux autres. Car la religion, en se basant sur les capacités intellectuelles de l’homme pour connaître la vérité, renie celui qui en fait la force, à savoir YéShWa’, l’unique et vrai Dieu qu’elle relègue au niveau d’un simple fils d’un dieu unique en trois pièces, dont elle ne sait même pas comment s’est fait cela… Mystère, dit-elle… Oui, le Mystère de YéShWa, le Dieu Tout-puissant, le Dieu d’Abraham d’Isaak et de Jakob-Israël, révélé comme HaMéShYa’, Le Fils de l’Homme dans les jours de sa chair et agissant actuellement en nous comme le Saint- Esprit selon sa promesse d’être avec nous jusqu’à la consommation des temps, oui, dis-je, ce mystère est grand.

En effet, YéShWa’ HaMéShYa’ est Dieu, l’unique, le véritable, le Créateur de Toute chose, visible et invisible, infiniment petit, comme infiniment grand, dans tout son gigantisme, sa grandeur…   

«Désormais, dit l’apôtre Paul, nous ne connaissons plus personne de la même manière : si nous avons connu HaMéShYa’ dans la chair, maintenant, nous ne le connaissons plus de la même manière : car Dieu était en HaMéShYa pour réconcilier le monde avec Lui-même.» Amen
«…afin que tous ensemble, d'une seule bouche, vous glorifiiez le Dieu, Père et notre Seigneur YéShWa’ HaMéShYa’.»Romain 15, 6

Le mystère donc de ce Dieu fait homme est grand. Certes, c’est une chose inimaginable pour l’entendement du comment de l’homme. Mais YéShWa’ est justement venu sur terre pour que tout homme puisse être à même de saisir cela par la simplicité de l’Evangile, seulement par la foi, uniquement la foi en son nom. C’est tellement simple que cela parait être pour les hommes une foutaise, détrompez-vous. Mais d’autre part, si l’Evangile était compliquée, si YéShWa’ avait fait qu’Elle soit ardue à comprendre, dite dans des termes archi-scientifiques, alors, personne n’aurait pu être sauvée, personne n’aurait pu porter ne fût-ce qu’une lettre de la lettre de l’Evangile, personne n’aurait pu porter une aussi lourde charge, personne n’aurait rien compris à l’Evangile de YéShWa’ HaMéShYa’.

Mais même dans cette simplicité, personne ne veut le connaitre en vue de comprendre les choses de cette existence ! Personne ne veut l’approcher pour sonder l'avenir du monde pour son bonheur !  Alors que c’est Lui le Créateur de ces choses… Comment mettre en marche une machine que l’on trouve compliqué alors tout s’évertue à chanter sa simplicité d’utilisation, si l’on n’en lit pas la notice. La Bible, c’est la notice de notre Vie sur terre. Alors lisons-la. Amen.

Alors que le cœur largement ouvert, les mains ensanglantés du Seigneur bien tendues, il offre à tout homme au prix de son sang versé sur la croix, sa paix, sa gloire, ses félicités éternelles. Mais personne n’en veut. Hélas !

Pourtant, le monde ne saura être sauvé de cette crise et de toute autre situation que par Lui, selon qu’il est écrit dans le Livre d’Isaïe le prophète au chapitre 65 et au verset 16, je cite :  
«Celui qui voudra être béni dans le pays, se devra l’être par le Dieu de vérité ; et celui qui jurera dans le pays, jurera par le Dieu de véritécar les anciennes souffrances seront oubliées, elles seront cachées à mes yeux », dit le Seigneur.

Pourquoi par le Dieu de Vérité seulement ? Et comment cela pourrait-t-il ou va-t-il se faire ?
C’est que nous verrons dans la suite cette exhortation.



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Développement
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Ce qui est étonnant, c’est que personne de tous ceux qui renient la Parole de notre Créateur et Dieu, ne s’attendait à cette crise bouleversante. Du moins, aucun homme selon le monde ne s’attendait à une crise de cette ampleur. Personne n’avait vraiment été préparé à ce brusque retournement de situation. Les érudits économistes qui prédisent l’avenir à partir des chiffres, n’y comprennent rien non plus, puisqu’ils ne s’y étaient pas préparés. Ils y pensaient, certes, mais ne s’imaginaient pas que ce serait à ce point.

Puisque jusqu’alors, jusqu’au début des années 80 et 90, pour les pays développés, tout évoluait sous des bonnes auspices économiquement. Et les découvertes scientifiques et leurs applications techniques promettaient un avenir meilleur dans un monde radieux pour la civilisation humaine.

Mais ce que nous voyons de nos yeux de cette crise, n’est que le côté visible de l’iceberg. Cette situation dénote d'un manque profond d'amour croissant entre les hommes. Au paroxysme de la dépravation planétaire des mœurs, l'égoïsme a touché des niveaux jamais atteints jusqu’alors. Ce qui a grandement encore élargi le fossé entre les riches et les pauvres.

Les hommes ne savent plus partager leurs richesses entre eux. Les richesses de tout un pays se retrouve dans les mains d’un seul homme, au profit d’une ethnie, d’un groupement d’intérêts d’hommes d’affaires ou d’hommes politiques, au détriment de tout un peuple ! 

L'immoralité dépravante s’accroit au jour le jour et de pire en pis. La vie, l’existence humaine n'a plus aucune valeur aux yeux de la plupart des hommes devant l'argent. Elle n’est plus rien devant les gloires éphémères, les biens passagers derrière lesquels courent tous ces simples mortels. Elle n’est plus rien devant la renommée, ce piédestal qui ne se tient sur rien d’éternel sur lequel veut être hissé toute âme bassement née sur terre.

A telle enseigne qu’un homme peut tout faire, allant jusqu'à tuer, pour réussir sa propre vie et ainsi mettre à l'abri des besoins sa famille. Elle s’en fout complètement. Et même cette dernière, c'est-à-dire la famille, peut être sacrifiée si les besoins de l'individu l’exigent. 


Comment peut-on comprendre cela ?

Déjà depuis le début, quand YéWa’-Adonaï avait chassé nos premiers parents du jardin de l’Eden, eu égard au péché, notre Créateur savait comment allait évoluer cette situation. Puisqu’Il maîtrise les tenants et les aboutissants de la matière sur tout ce qui existe et toutes les éventuelles réactions et interactions entre elles à cause des actes mauvais posés par des hommes depuis la nuit des temps, il est le seul qui peut trouver solution de tout problème sur terre. Il a la solution et est Lui-même la Solution de tout problème humain. Puisque c’est Lui qui a tout créé de sa propre volonté par sa propre Parole selon un Plan bien établi d’avance en Lui-même.

YéWa’-Adonaï, le Dieu d’Abraham, d’Isaak et de Yakob veut aussi réussir selon son plan préétabli avant la création du monde dans son amour, à savoir « protéger ses enfants créés à sa ressemblance » puisqu’ils ont tous été destinés à la vie abondante et éternelle.

Ainsi donc, il est clair que quiconque veut être béni dans le pays, c'est-à-dire tout celui qui veut être béni sur cette terre, tout homme qui qu’il soit et qui veut se sortir de cette crise de façon glorieuse dans l’univers, doit être béni dans le Dieu de vérité, c'est-à-dire que dans la mesure où il intègre le Corps de Celui qui s’est sacrifié pour tous les pécheurs dont lui ou elle, à savoir YéShWa’ HaMéShYa’, notre Seigneur et Dieu, Lui-même.  

Pour ce faire, notre Créateur nous a préparé la Maison du Pain, « Beth-léhem » où nous pourrions aller comme bon nous semble, quand on veut pour en prendre au besoin pour la Vie éternelle.

Notre Créateur qui a créé l’homme et la femme selon sa ressemblance et qui avait placé, établi, cette ressemblance donc, selon son plan au-dessus de toute la Création afin que Lui-même, Esprit et Parole, Epoux et Epouse, puisse s’y incarner et ainsi régner sur toute sa Création, ne pouvait, ne peut et ne pourra supporter cela. De la même façon qu’il était intervenu à l’époque de Babel en détruisant toute l’humanité sauf Noé et sa famille qu’il avait choisis pour multiplier de nouveau notre race humaine sur terre à partir de cet homme, Notre Seigneur, Créateur de toute chose, interviendra bientôt, non pour détruire toute l’humanité puisqu’Il avait déjà depuis près de 2000 ans trouvé la rançon pour notre rachat, mais détruire seulement ceux qui n’auront pas accepté sa Vérité ensemble avec le diable et ses anges d’une part, et  prendre avec Lui dans l’Eternité de sa vie, tous ceux qui l’aurait adoré, aimé, servi en travaillant au salut des autres afin que beaucoup puissent être sauvés si possible.

Alors que certains « croyants », manquant de foi qui est vie, croyants encore aux paroles mensongères d’un autre monde encore plus ténébreux que celui des Lois antiques qui régissaient la matière, enseignent qu’il faut décimer, détruire tous ceux qui s’écartent de leur voie, les qualifiant des incroyants… Mais nous, disciples de HaMéShYa’, ce n’est pas ainsi que Celui qui jugera tous les hommes à la fin des temps selon sa Parole, nous a appris à vivre et à enseigner aux autres, ceux qui ne le connaissent pas l’Evangile de son insondable grâce. Il nous a appris d’aimer sans condition nos semblables, nos frères et sœurs humains.

Parce que tous ceux qu’Il avait dispersés au jour de Babel sur toute la surface de la terre afin que les hommes ne remontent pas avec leurs péchés vers Dieu, - ce qui étaient déjà chose impossible -, Il veut les regrouper à nouveau mais une fois pour toute l’éternité dans la puissance de son nom triplement béni, à savoir YéShWa’ Le MéShYa’, notre Seigneur et Dieu. Amen.

Car, a-t-il dit par la bouche de son serviteur Paul dans son épitre aux Ephésiens (6,12), je cite :
«Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. »

Ce sont le diable et ses anges qui sont nos ennemis, les premiers ennemis de l’Evangile dans laquelle ils n’ont aucune part. Dépourvus d’amour et de compassion, ce sont eux qui entrent sournoisement dans les esprits et les corps de nos frères et sœurs et les poussent à commettre des choses abominables qui irritent le Saint-Esprit de YéShWa’, afin de les boucher leur entendement et endurcir leurs cœurs et ainsi les empêcher de connaitre la Vérité toute puissante de Dieu, notre Créateur et Seigneur, de se convertir par Elle, d’être libéré de l’esclavagisme de la chair et du péché et d’avoir enfin la Vie éternelle de HaMéShYa’ en partage.


                                                         *                        *                         *

Si en apparence donc, la crise serait la cause de cette dépravation, en regardant de très près la crise en elle-même, en l'analysant point par point, tenant compte des acteurs et des enjeux en compétition, nous nous rendrons très vite compte que cette crise visible, réelle est elle-même causée fondamentalement par une autre crise plus grave, puisque spirituelle, très profonde, et qui gangrène toute la société humaine à tous les niveaux, du plus petit au plus grand, du plus riche au plus pauvre, du plus « croyant » au moins « croyant », du Nord au Sud et de l’Ouest à l’Est.

Bien que l’humanité eut déjà connu dans le passé telle situation, à savoir ce qui a poussé le Seigneur à la destruction du monde d'avant Noé, de la tour de Babel et la dispersion des hommes sur toute l’étendue de la terre en plusieurs langues et tribus et familles, à mesure que les hommes se multipliaient, le péché se multipliait aussi pour atteindre aujourd’hui le plus haut sommet de la dépravation.

Le manque de foi, c'est à dire le manque de confiance de l'homme dans la Parole de son Créateur est à l'origine de cette grave déchéance spirituelle. Certes cela ne date pas d’aujourd’hui, mais cette situation séculaire est allée en s’aggravant au fil des siècles, de plus en plus que s’approche le temps de la fin de la matière. Il est en effet écrit dans l’épitre de Paul aux Romains, je cite :

« Il n’y pas de juste, pas même un seul. Nul n’est intelligent, nul ne cherche Dieu. Tous sont égarés, tous sont pervertis. Il n’en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul… »

Dieu en effet avait dès la création du monde, mis devant l'homme le chemin à suivre pour que sa vie sur terre se passe dans la paix et dans un bonheur parfait. Mais, les hommes, suivant les conseils du diable, se sont retrouvés dans la situation même où Dieu ne voulait pas les voir. Genèse 2, 1-25 et 3, 1-21.

Dieu a donc chassé nos premiers parents du jardin des délices où il les avait installés, pour les jeter dans les aléas de son existence désormais jonchés d'épines et de toutes sortes de difficultés et des douleurs. Genèse 3, 22-24.

Mais là aussi, bien que cela ne soit pas perceptible au premier abord, il faut y voir la marque du grand amour dont Le Tout-Puissant a aimé. C’était là aussi une stratégie de notre Créateur pour l'amorce et le cheminement de la voie du salut, ainsi aider l'homme et le sortir de là. C’est parce que, dès la chute, Notre Dieu et Créateur avait mis en route Son plan de rachat: chasser l'homme et la femme de l'Eden. Genèse 3,15 ; Isaïe 1,14. 

Et le signe de l’accomplissement de ce plan de rachat, est celui-ci, je cite :

« Voici, la jeune fille vierge deviendra enceinte et enfantera le Fils, et elle lui donnera le nom de Emmanuel ».

Matthieu dans son évangile, précise la signification de ce nom d’Emmanuel et écrit, je cite :

« Ce qui signifie Dieu est avec nous… »

Il n’est pas dit, je crois qu’il est besoin de le souligner ici, « fils de Dieu avec nous », mais bien « Dieu avec nous ». C'est-à-dire, Dieu Lui-même sera parmi les hommes qu’Il a créés à sa ressemblance. Hébreux 2, 9-11. Lire attentivement dans Hébreux, les chapitres 1 et 2 en entier pour bien saisir cela.

LA TORAH, LES JUIFS ET LES NATIONS

Ainsi, après avoir dispersé les hommes sur toute la surface du globe, chacun ayant sa langue propre, Dieu a appelé un homme, le patriarche Abraham. Et Il en a tiré un peuple nombreux, le peuple Israël,  à qui Il a donné la Torah dans sa langue maternelle propre afin de préparer par elle, c'est-à-dire par la Torah, le salut de toute l'humanité.

En gardant la Torah, Juda un de tous les enfnats d'Israël est tiré du lot. C'est des Juifs dont je parle puisque le salut de l’humanité tout entière passe par le Juif. Juda devait produire pour Dieu le fruit de la Torah : une femme vierge. C’est là la voie par laquelle HaMéShYa', le Sauveur, devait entrer dans le monde. Genèse 4, 22 ; Isaïe 9, 5-6, Mathieu 1, 18-25 ; Luc 1, 31.

Observant donc la Torah avec beaucoup de rigueur et de sérieux, le peuple Juif a effectivement selon la Parole de Dieu consécutive à l’instauration Torah, produit au monde la femme vierge de Natséret, Mariam, au même titre qu'Eve, encore vierge dans le jardin avant la chute.

Il est en effet écrit dans le Livre d’Osée le prophète, dans le chapitre 12 au verset 13, je cite : « Jacob s’enfuit au pays d’Aram, Israël servit pour une femme, et pour une femme il garda les troupeaux. » Amen.

Celui qui s’enfuit au pays d’Aram, c’était Jacob, mais quand il servit pour une femme, ce ne fut plus Jacob mais Israël : quand il garda les troupeaux, ce ne fut plus Jacob, mais Israël. Le patriarche Israël avait dû obéir pour une femme. Sur quoi devait s’appliquer son obéissance ? N’est-ce pas sur la Torah encore dans le sein de son Dieu ? Avec quoi il garda les troupeaux ? N’est-ce pas avec la Torah encore dans l’Esprit de Dieu ?

Quand la Torah n’avait pas encore été manifestée, Dieu avait gravé la Torah dans les seins des patriarches Abraham d’abord, Isaac ensuite et enfin Jacob afin que nous puissions dire en toute vérité en nom notre Seigneur, « le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob ». Amen. En effet, Abraham reçut la promesse et Il crut en la promesse. Et il la vit la promesse Isaac dans sa chair et d’Isaac naquit celui qui les supplanta tous, Jacob qui après avoir lutté avec l’ange et que ce dernier ne put le vaincre, reçut un nom plus excellent que ses frères. Ce nom le désignait en effet comme

«Celui qui combattra aux côtés de Dieu», le « Combattant d’El».

Ainsi donc, voilà que dans le livre d’Osée le prophète, le Seigneur nous donne en un seul verset sur quelques mots la globalité de la vie même de notre patriarche Jacob dont le nom fut changé  en Israël. Ainsi, nous voyons la place de la femme dans le plan éternel de Dieu. Nous comprenons pourquoi au lieu d’aller vers l’homme, le diable était allé directement vers Eve pour la tenter. Nous comprenons que loin d’être faible comme d’aucun le pense, la femme est l’image même de la vie même qui est HaMéShYa’.

C’est pourquoi, écrit l’apôtre Paul sous l’onction du Saint-Esprit, à cause des anges, la femme doit porter la marque de l’autorité dont elle dépend. Ainsi HaMéShYa’, Parole de Dieu, Epouse de l’Esprit, éternellement assise à la droite du Tout Puissant, entrant dans le monde, a porté la marque de l’autorité dont Elle dépend, une voile de Chair semblable au fils de l’homme selon la chair et le Nom du tout puissant selon l’Esprit.

Ainsi donc la Parole s’est faite chair et Elle a habité parmi nous pleine de grâce et de vérité comme une mère qui enfante dans le sein de Dieu et pour le Père tous ceux qui la reçoivent et croient en son Nom, Celui de l’Epoux, comme enfants de Dieu, né selon l’Esprit de Dieu par la foi et non selon la chair. Jean 1.

CONSEQUENCE DE LA TORAH POUR LES JUIFS

Et nous avons vu combien et comment le diable a séduit, séduit et séduira encore ceux du monde entier qui ne connaissent pas le Seigneur YéShWa’ pour s'acharner contre le peuple Juif.

Pourquoi ?

Nous pouvons désormais le dire parce que nous en avons reçu la révélation du Saint-Esprit, oui, c’est parce que le Juif avait travaillé fidèlement à produire dans le monde selon la Parole rigoureuse de la Torah du Dieu de ses pères, le fruit de la Loi, c'est-à-dire la femme vierge, afin que HaMéShYa' entre dans le monde pour le salut de quiconque croit. Amen ! Jean 4, 22 ; Hébreux 7, 11-14-17. C’était là le signe donné à Israël depuis l’ancien temps par la bouche du prophète Isaïe.

Ainsi, nous peuples du monde, peuples des nations, greffés ou as encore sur l’arbre de Jessé, faisons donc attention, pour ne pas nous associer dans cette entreprise diabolique monstrueuse qui pousserait quiconque à s’attaquer aux Juifs. Bénissons pour nous le Juif et défendons pour nous sa cause, ou qu’il soit et quel qu’il soit pour la seule gloire du Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, notre Seigneur, YéShWa’ HaMéShYa’ ! Amen !

Car, voyant son temps toucher à sa fin, voyant qu'il a été vaincu sur la Croix, voyant que le Sang de HaMéShYa' versé sur la croix a donné éternellement l'arme toute puissante aux fidèles de l'Agneau immolé qui ont le vrai témoignage de YéShWa’ selon la Prédication de l’aouvre de sa Croix et l’aspersion de son sang pour le vaincre éternellement, - lire Apocalypse 5, 5 ; 12,1-17 -, il s'acharnera sur la femme qui a enfanté l’enfant mâle, donc le peuple juif, de façon encore la plus atroce. Faisons attention, frères et soeurs, de ne point prendre partie contre les juifs, de quelque façon que ce soit. prions et béniossons les Juifs.

Bien qu'il n'y ait pas de peuple élu à proprement, dans son plan de rachat pour toute l'humanité, notre Dieu, YéShWa', le Créateur de Toute Chose, avait choisi un homme, Abraham qu'Il avait béni pour en faire un peuple à qui il donnera la Loi en vue de produire les fruits de la Loi par lequel HaMéShYa', la bénédiction du monde, entre dans l'univers. C'est pourquoi Dieu est dit en primauté Dieu d'Abraham, parce que dans la foi, condition sine qua non du rachat, Abraham est le prémice de tous ceux qui ont cru. Aussi nous l'appelons le père de la foi. ENsuite Dieu d'Issac et enfin Dieu de Jacob, dont le nom sera changé en "Israël". Amen.

Les juifs sont dans le plan de rachat de Dieu comme les prémices toute l'humanité dispersée à la Babel. Ils sont comme nos aînés, ceux qui ont travaillé avec Dieu par la Loi à l'écart de tout, afin que toute l'humanité dispersée à la tour de Babel, rentre en Dieu par Christ, le fruit de la Loi, produit par eux. Amen. Bénissons donc les juifs, bien-aimés.

Parce que le Juif a été fidèle dans sa chair pour produire le fruit de la Loi, la femme vierge selon la prophétie, fruit par le quel toute l'humanité se glorifie au Nom de YéShWa’ HaMéShYa’, notre Seigneur et Dieu, béni soit le Juif, ou qu’il soit ! Que le Dieu de ses pères que nous servons et que je sers de tout cœur, le rassemble de tous les lieux où ils sont dispersés et qu’Il les ramène selon sa parole sur la terre de ses pères selon ses promesses ! 

Alors que personne ne vous trompe, ô hommes ! Quand nous adorons notre Dieu, YéShWa’, bénissons aussi le Juif, parce que son Dieu avait été exigeant et sans pitié avec lui dans son amour pour toute l’humanité afin qu’il fasse le grand travail qu’il a fait à travers chacune des générations de ses enfants jusqu’au jour de HaMéShYa’. Remercions Dieu, notre Père, pour le grand frère qui a travaillé fidèlement, non comme le grand frère de l’enfant prodigue qui s’irrite de voir combien le père traite le revenant, mais se réjouit avec lui afin que la joie de son père pour le retour de son frère soit parfaite. Amen.


Au travers la chair de cette femme vierge donc, notre Créateur est venu Lui-même humblement, comme un simple homme ainsi qu’Il l'avait annoncé au peuple d'Israël par la bouche d'Isaïe le prophète, 35, verset 3 à 5, je cite:

"Fortifiez les mains languissantes, et affermissez les genoux qui chancellent; dites à ceux qui ont le  cœur troublé: prenez courage, ne craignez point. Voici votre Dieu, le salaire est avec lui, la rétribution. Il viendra Lui-même et vous sauvera.
Alors s'ouvriront les yeux des aveugles, s'ouvriront les oreilles des sourds. Alors le boiteux sautera comme un cerf. Et la langue du muet éclatera de joie. Car des eaux jailliront dans le désert, et des ruisseaux dans la solitude..." 

YéShWa’ HaMéShYa’ donc que nous proclamons ici, c’est Lui le Dieu unique, tout puissant et souverain, le Créateur de l’Univers et de tout ce qui y grouille, êtres, choses, matières, non-matières, l’espace étendu du vaste cosmos, etc.
C’est Lui qui avait été investi de l’autorité er de pouvoir pour vaincre la mort en payant au prix de son sang la rançon que réclamait la Loi pour le péché commis, détruisant ainsi le pouvoir du péché qui avait autorité sur la mort après nous avoir purifiés par son sang afin de nous faire paraître, nous qui croyons en son Nom, saints et irréprochables devant son trône.

Combien de fois le diable s’était acharné sur eux pour les empêcher d’accomplir la volonté de Dieu ? Combien ? Mais l’ange de l’Eternel avait toujours été là pour le juif afin d’empêcher la main du destructeur de les détruire…

Alors prenons garde. Et autant que l’Esprit nous l’inspirera, exhortons le Juif à rentrer dans les pénates de son Seigneur et Dieu, exhortons le à le faire et bénissons le. Amen ! Zacharie 9,8 ; 12, 8-9 ; 14. Joël 3, 21.

Comme Il avait dès avant la création du monde destiné l’homme à la vie éternelle, et que son plan avait été remis en cause par le diable à cause de sa ruse, détournant et faussant la Parole que son Dieu lui avait destinée, Dieu intervient Lui-même comme Fils en versant son Sang sur la Croix afin de réintégrer dans l’éternité prédestinatale tous les hommes qui étaient dans le sein paternel d’Adam et qui devaient prendre forme dans la matrice maternelle d’Eve et venir au fil des générations.

C’est pour cela que YéShWa’ HaMéShYa nous avait créés. Pour la vie éternelle en Lui-même, dans Christ-MéShYa’.

Ainsi, la solution à la crise qui sévit dans le monde, n’est pas matérielle comme d’aucuns le pensent, mais spirituelle. On peut renflouer les banques, essayer de créer des emplois même fictifs, on peut délocaliser, et relocaliser, parlementer, changer des gouvernements, mais rien ne changera si le cœur de l’homme ne change pas fondamentalement, si dans un élan d’amour parfait comme celui que HaMaShYa’ a manifesté pour le monde, l’homme ne revient pas dans un vrai service de l’autre basé sur la Justice vraie de Dieu par le sang précieux de HaMaShYa’ selon la prédication de la Croix.

La solution de la Crise, quoique vous en dise, c’est le salut de l’homme.
Si donc l’homme est sauvé, la crise se résorbera par elle-même.

Or ce n’est pas l’homme qui comment le péché qui en est l’instigateur, mais le diable, le serpent ancien, et ses anges déchus que sont les démons qui travaillent pour sa gloire sournoisement à rabaisser les hommes, en les maintenant dans l’esclavagisme de la matière, dans les ténèbres de l’ignorance, en les gardant loin de l’Esprit glorieuse de YéShWa’,notre Dieu, et de la splendeur lumineuse de sa Sagesse, HaMéShYa’, La Parole du Dieu Tout-puissant qui l’a créé à son image afin qu’Il vienne Lui-même habiter et régner sur terre, dans l’univers en lui, par lui, et qui avait, dès avant la création du monde, intimé à tous les anges, à Lucifer et ses anges compris, l’ordre de L’adorer, Lui et Lui seul.

Nous devons donc nous revêtir de la puissance d’en haut par la Foi dans l’œuvre de la croix de Christ-HaMéShYa’ et dans sa Parole en plaidant son sang qui établit notre justification pour vaincre le diable et ses démons, et ainsi réintégrer notre éternité perdue en Christ en qui nous sommes.

Ainsi, pour cela, pour remédier à cela, le Seigneur YéShWa’, Dieu et Créateur de toute la terre, de tous les ciels et de tous l’univers, nous a donné un nom tout puissant: le sien justement, YéShWa’ HaMéShYa.

Il n’y a de salut en aucun autre Nom que Celui du Seigneur. Ainsi quiconque invoquera le Nom du Seigneur sera sauvé. Et YéShWa’ sera le Seul Seigneur et son Nom sera le seul Nom. Sophonie 3, 9;  Zacharie 14, 9.

Ainsi, dit-le Seigneur, c’est pourquoi mon peuple connaitra mon Nom. C’est pourquoi il saura en ce jour que c’est Moi qui parle : Me voici ! Esaïe 52, 6. HaMéShYa’.

Oui, Le Voici, Lui, le Seigneur de Gloire, avec ses enfants, ceux qu’Il s’est acquis avec la Puissance de la Volonté de son Esprit par et dans sa Parole, conformément à son Plan éternel établi avant la fondation du Monde en HaMéShYa’, la Parole de Dieu. Hébreux 2, 13. Esaïe 8, 18.

Celui dont le Nom est élevé au dessus de tout nom qui peut se nommer sur terre, sous terre dans les cieux et partout dans l'Univers, c'est YéShWa' HaMéShYa', le Dieu Unique et Véritable. 1 Jean 5, 20. Celui qui a cru à la Manifestation de sa Chair dans l'Univers a certifié que Dieu est Vérité et est sanctifié par cette Vérité. PUisque la vérité s'est Elle même sanctifiée afin que quiconque croit en Elle, la reçoit soit ipso facto sanctifié pour la Vie éternelle. Jean 17, 19. 1 Corinthiens 1, 2.

Afin que notre Dieu et Seigneur, YéShWa' HaMéShYa', nous donne à tous son Esprit qui est dans sa Sagesse pour révéler en nous la parfaite connaissance de sa personne, de sa vérité, de sa grandeur, de son amour, de sa justice et de sa puissance, le Nom de YéShWa’ est au dessus de tout nom qui peut se nommer  sur la terre, sous la terre, dans les ciels et partout dans l’univers, de sorte qu’au nom de YéShWa’ HaMaShYa’, tout genoux fléchisse et que toute langue confesse que YéShWa’ est Seigneur au même titre que Dieu le Père. Ephésiens 1, 17-23.

Oui, parce qu’il est Dieu comme nous le dit l’apôtre Jean dans son premier épitre, 5, 20, je cite :
«Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu'il nous a donné l'intelligence pour connaître le Véritableet nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus Christ

Oui, parce qu’il a dit Lui-même avant sa venue dans le Livre de Zacharie, 12, 10, je cite :
«Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem Un esprit de grâce et de supplication, Et ils tourneront les regards vers moi, celui qu'ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, Ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né

Oui, parce qu’étant Alpha et Oméga, Aleph et Tav’, Il clôture Le Livre de la Révélation de Jean 12, en disant, je cite : 
«MoiYéShWa’, j'ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Églises. Je suis le rejeton et la postérité de David, l'étoile brillante du matin.
Et l'Esprit et l'Epouse [ c'est à dire l'Esprit et la Parole, donc YéSHWa' et HaMéShYa'] disent: Viens. Et que celui qui entend dise: Viens. Et que celui qui a soif vienne; que celui qui veut, prenne de l'eau de la vie, gratuitement.
Je le déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre: Si quelqu'un y ajoute quelque chose, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre; et si quelqu'un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l'arbre de la vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre.
Celui qui atteste ces choses dit: Oui, je viens bientôt. Amen! Viens, Seigneur YéShWa’!
Que la grâce du Seigneur YéShWa’ soit avec tous! »

LA DOCTRINE DE LA TRINITÉ

Si la Nouvelle Alliance établie par notre Seigneur et Dieu avait été annoncée par Dieu Lui-même aux prophètes anciens selon les Ecritures, sachez, bien aimés, que tout dogme établi en vertu de cette Alliance dans l'Eglise Corps de Christ et élevé comme vérité indéniable, doit aussi avoir été annoncé par Dieu au travers de sis saints prophètes. Elle doit l^'etre par la foi par révélation et non selon une philosophie humaine.

Au sujet de la sainte trinité, le Dieu d'Abraham et d'Issac et de Yahakob, YéShWa' ne nous a rien dit, ni par la bouche des ses prophètes dans la bouche desquels il avait annconcé l'Ancienne Alliance qui s'accomplit parfaitement dans la Nouvelle Alliance ausdsi annoncée depuis longtemps, ni par la bouche de ses ssaints aprôtres. Et ni de sa propre bouche dans les jours de sa chair. 
Au contraire, ce que nous dit le Seigneur, de sa propre bouche dans les jours de sa chair, établit noir sur blanc que Dieu est Esprit et Parole. La Parole est dans le sein de l'Esprit. La perfection de cette unité est indéniable puisque vraie et proclammée dans la Vérité qui est la Lumière du monde, cette lumière qui éclaire tout homme, à sa voir Christ-HaMéShYa', Parole même de Dieu avec laquelle YéShYa', Dieu, créa touite chose. 

Oui, bien-aimés, sachez en cela que tout esprit qui atteste que YéShWa' HaMéShYa' ( c'est à dire L'Epoux etL'Epouse, donc L'Esprit et La Parole, ou mieux Le Père et Le Fils) est venu dans la chair Lui-même comme Il l'avait promis à ses saints prophètes, est de Dieu.

Et que que Tout esprit qui soutient le contraire, comme celui de la trinité qui donc montre un dieu à trois têtes, vient de l'antéchrist dont vous avez appris la venue. 1 Jean 4, 1-3.

Ouvrez vos yeux, donc, aimés, et voyez là où vous vous tenez. Ouvrez vos yeux, chers pasteurs et serviteurs de Dieu, et voyez ce que vous enseignez aux fidèles, aux brebis que YéShWa' s'est acquis au prix de son sang.
De grâce! soyez humbles devant Dieu et reconnaissez le. 
N'enfermons pas Dieu dans des dogmes, ne définissons pas Dieu selon vos confessions de foi selon vous et no selon Dieu. de grâce, laissez la pleine liberté à l'Esprit lui-même de vous enseigner et de vous conduire dans la parfaite connaissance de Dieu à l'Etat d'homme fait.

Oui, bien-aimés, les humbles serviteurs, les saints apôtres, les prophètes du Dieu Très-Haut nous ont dit dans les Saintes Ecritures longtemps d'avance que plusieurs faux docteurs sont déjà entrés dans le monde. Aussi n'ajoutez pas foi à tout esprit mais éprouvez-les. 

C’est pour cela que les disciples ayant compris cela, ont baptisé tous ceux qui venait à eux, donnant leurs vies à leur véritable et unique Créateur,  au Nom de YéShWa’ HaMaShYa’.

Et cet apôtre que le Seigneur aimait, qui passait son temps à mettre sa tête dans le creux du sein de son Dieu à entendre le grouillement des entrailles du Tout-puissant (oh gloire!), nous dit de façon certaine et vraie, je cite:

"Qui est menteur, sinon celui qui nie que YéShWa' ( le Dieu Tout-Puissant) est HaMéShYa' (Sa Parole, Le Fils révélé dans l'Univers), Celui-là est l'antéchrit, qui nie le Père et le Fils." Amen
Voyez bien le chiasme, c'est à dire le croisement que l'apôtre met entre les mots les termes utilisés, en faisant correspondre le nom YéShWa' au titre "Père" et le nom HaMéShYa' au mot "Fils". Or nous savons, nous dit le Seigneur, Lui-même, que Dieu est Esprit. L'Esprit est Saint. Rouah Kodesh. Et l'Esprit Saint, c'est Dieu Lui-même, puisqu'il dit à ses apôtres, je cite:

"L'Esprit de Vérité [ c'est donc l'Esprit Saint ] que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le connait, parce qu'il ne le voit point et le connait point, mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous [il est là, il demeure là, pendant qu'il leur parle, il est là avec eux ], et il sera en vous [ après la réssurection à partir du jour de pencôte, il sera en eux en esprit ]. Je ne vous laisserai pas orphelin, je viendrai à vous... En ce jour-là, vous connaîtrez que je suis en mon Père quer vous êtes en moi et que je suis en vous."  Jean 14, 17, 18.

Et même, si nous revenons quelques instants avant qu'il leur dise ce que j'ai dit ci-avant, l'apôtre Philippe, un peu perturbé par tout ce discours propre en effet à tropubler l'intelligence humaine, demande que le Seigneur leur montre promptement le Père. Il serait su^perflu que je vous dise la réponse du Seigneur. Lisez simplement Jean 14, 7-14. Jean 16, 25-31.

Celui qui a vu le Fils, HaMéShYa' a vu le Père, YéShWa'. 

Si le Saint-Esprit était une personne différente du Fils et du Père, alors ici, le Seigneur l'aurait dit clairement, frères et soeurs. N'enfermez pas le Seigneur dans des ddogmes, mais laissez la Parole du Seigneur, le Témoignage de l'Esprit Lui-même vous faire entrer dans l'excellence de sa connaissance, simplement. 

Nous comprendrons aussi que si cela était vrai, oui si la trinité était vraie, les discioples aurait agi différemment de ce qu'ils avaient fait. Ils ont travaillé au Nom unique de YéShWa' HaMéShYa', le Seigneur des seigneurs, le Roi des rois que nous sommes en Lui. Amen.

Les disciples, ceux qui ont marché avec le Seigneur, n'ont pas eu ce dogme qui est né dans les premiers siècles après l'ère chrétienne avec les pères des églises dans les voies du catholicisme qui devenait plus une religion, avec des rites et de traditions, que la foi pure qui est révélation. Ils ont usé de plus de philosophie, des réflexions humaines en cherchant des similitudes avec des dieux domestiques romains selon les rites paëns de l'époque.

La réforme devait remettre les choses à leur place, et donner la prépondérance à la Parole de Dieu qu'a la philosophie et la pensée humaine. Tout ce qui n'est pas exoplicitement dit dans les Ecritures devait être aboli. En effet, le terme "trinité" n'est pas dans les Ecritures. Comment poyuvons-nous faire foi à un concept qui n'est pas dans les Ecritures et en plus antiscripturaires?

Je vous laisse, bien-aimés, faire la part des choses. En ce qui me concerne, le Seigneur m'a dit, dès le jour de mon baptême, dès que je suis sorti de l'eau de la rivière Ndjili, le Seigneur m'a donné un passage. J'en ai parlé au frère qui m'avait baptisé et il me dit, ouvre la Bible et lis ce passage, pour que cela serve de témoignage à toute la communauté. Jérémie 15, 19-21. Je cite texto:

"C'est pourquoi, ainsi parle l'Eternel :
Si tu te rattaches à moi, je te répondrai, et tu te tiendras devant moi;
Si tu sépares ce qui est précieux de ce qui est vil, tu seras comme ma bouche.
C'est à eux de revenir à toi, Mais ce n'est pas à toi de retourner vers eux.
Je te rendrai pour ce peuple comme une forte muraille d'airain;
Ils te feront la guerre, mais ils ne te vaincront pas;
Car je serai avec toi pour te sauver et te délivrer, Dit l'Eternel.
Je te délivrerai de la main des méchants, Je te sauverai de la main des violents."

Et j'ai fait la part des choses. J'ai séparé ce qui est vil de ce qui nous est précieux à tous et qui est capable de nous donner la Vie éternelle, à savoir la connaissance de notre Dieu, YéShWa', dans celui qu'Il a envoyé, le Fils,HaMéShYa' conformément aux Ecritures.

Notre foi, aimés, ne reposent pas sur le fondement des pères de l'Eglises. Cela n'est écrit nulle part dans la Bible. Mais l'apôtre Paul confirme dans Ephésiens 2,20-22 ce que j'affirme, je cite:
"Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes
  [ il n'y a pas de pères de l'église cités ici que je sache!],
YéShWa' HaMéShYa' étant lui-même la pierre angulaire. 
En lui [ c'est à dire dans son sein et en dehors de lui],tout l'édifice, bien coordonné,
s'élève pour être un temple saint dans le Seigneur.
En lui [idem], vous êtes aussi édifiés pour être une habitation de Dieu en Esprit [ mieux dans le sein de Dieu qui est Esprit et Saint]." 

C'est donc Lui, YéShWa' HaMéShYa' que j'adore par dessus toute chose, je fléchis en tout temps mes genoux devant Lui dans les assemblées des saints. ceux qui me connaissent peuvent l'attester. Je proclammes à haute voie de façon à ce que tous puissent l'entendre que YéShWa' HaMéShYa' est le Seigneur des seigneurs, le Créateur de Toute chose, le Dieu Tout-puissant, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Yahakob. Et que C'est Lui qui revient dans sa gloire sur les nuées prendre les siens après avoir jugé toute l'humanité chacun selon ses oeuvres. Amen. Viens Seigneur YéShWa'!

Et tout celui qui fait cela, tout celui qui l'adore Lui et Lui seul, le Dieu unique, YéShWa' qui s'est révélé comme HaMéShYa' dans les jours de sa chair, recevra sa part de bénédiction dans Lui, et non hors de Lui.

Aussi je vous exhorte, bien-aimés, à vous rattacher à YéShWa' HaMéShYa' uniquement, en obéissant à sa Parole selon les directives de son Saint Esprit. Demandez Lui la sagesse et ayez sa crainte constamment dans vos coeurs et dans vos membres.

Le Seigneur ne ment jamais comme le disent les Ecritures. Si YéShWa' n'était pas Le Dieu, Le Père Créateur de toute chose par sa Parole HaMéShYa' qui était dans son sein et qu'Il a manifestée dans l'Univers comme la première de toute la Création, s'il n'était pas l'Esprit Saint qui est en nous maintenant et qui nous conduit dans toute la gloire, de victoire en victoire selon sa sacrificature de l'Agneau par Melckitsédeck dans le sanctuaire céleste qui a aspergé son sang dans l'univers pour le salut de tous, YéShWa' ne nous aurait pas dit dans les jours de sa chair dans  HaMéShYa' que Celui qui l'avait vu avait vu le Père. Jean l'apôtre ne nous aurait pas dit qu'en Lui nous sommes dans le véritable en nous affirmant que c'est Lui, HaMéShYa' qui est le Véritable et la Vie éternel.

Quand Abraham ramenait son fils sur la montagne pour le sacrifier au Tout-Puisant, obéissant à la demande de ce dernier, Abraham obéït et prit son fils pour la montagne. L'enfant avait demandé à son pre en chemin où était l'agneau du sacrifice, et le père lui répondit, lire Genèse 22 : 8-14, je cite :

"Abraham répondit : Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l'agneau pour l'holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble. Lorsqu'ils furent arrivés au lieu que Dieu lui avait dit, Abraham y éleva un autel, et rangea le bois. Il lia son fils Isaac, et le mit sur l'autel, par-dessus le bois. Puis Abraham étendit la main, et prit le couteau, pour égorger son fils. Alors l'ange de l'Eternel l'appela des cieux, et dit : Abraham ! Abraham ! Et il répondit : Me voici! L'ange dit : N'avance pas ta main sur l'enfant, et ne lui fais rien; car je sais maintenant que tu crains Dieu, et que tu ne m'as pas refusé ton fils, ton unique. Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes; et Abraham alla prendre le bélier, et l'offrit en holocauste à la place de son fils. Abraham donna à ce lieu le nom de Jehova-Jiré. C'est pourquoi l'on dit aujourd'hui : A la montagne de l'Eternel il sera pourvu."

YéShWa' s'est pourvu Lui-même comme HaMéShYa' sur la croix afin de sauver l'humanité qu'Il a créée de sa propre volonté, mes frères et soeurs. Comprenons cela et bénissons Dieu dans son amour pour nous. 
C'est justement ce qui dépassaient l'entendement des juifs en regardant la faiblesse et l'humilité dans laquelle YéShWa' s'était manifesté dans l'univers. Un faible homme, pas assez beau pour plaire, au visage défiguré, semblable à une personne puni de Dieu..., je cite Esaie 53: 

"Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l'Eternel ?
 Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée;
Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards,
Et son aspect n'avait rien pour nous plaire.
 Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance,
Semblable à celui dont on détourne le visage,
Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.
Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé;
Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.
Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités;
Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui,
Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.
Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie;
Et l'Eternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous..."

Mais c'est Lui qui a pris nos fautes, Lui même YéShWa', le Tout-Puissant. Parce que personne n'était et n'est aussi puissant pour payer à la fois le prix de la Loi édenique et de la Loi mosaïque, sinon le Tut-Puissant Lui-seul. 

Aussi, étant donné que le Tout-Puissant avait dit que les fils ne paieront pas pour les péchés de leurs pères, pourquoi Le Père aurait envoyé son Fils alors que le Père avait créé son monde de son propre chef, même si comme ils disent que le Fils aurait participé à la Création du monde.

Ecoutons, frères et soeurs. Et c'est ici la Sagesse et la Justice de Dieu. Il ne pouvait pas laisser Abraham lui offirir son fils unique puisque ce fils était la bénédiction qu'il avait accordée à Abraham. Et comme il ne change pas et qu'il est fidèle à sa Parole, il s'est pourvu Lui-même comme il a dit Lui-même à l'enfant dans la bouche d'Abraham, Il s'est pourvu lui-même à l'agneau du sacrifice.  Remarqué" qu'il n'est pas écrit qu'il a pourvu Lui-même à l'Agneau du sacrifice, mais, ô gloire! qu'il s'est pourvu Lui-même.


CONCLUSION


Les actes des apôtres le confirment que Christ-HaMéShYa' est YéShWa', 
le Créateur, le Tout Puissant, le Très-Haut:

«Pierre leur dit: Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de YéShWa’ HaMaShYa’, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint Esprit. Actes 2, 38.
«Alors Pierre lui dit: Je n'ai ni argent, ni or; mais ce que j'ai, je te le donne: au nom de YéShWa’ HaMaShYa’ de Nazareth, lève-toi et marche.» Actes 3,6.
«Et il ordonna qu'ils fussent baptisés au nom du Seigneur. Sur quoi ils le prièrent de rester quelques jours auprès d'eux.» Actes 10, 48.

Ainsi donc, à part le Nom de YéShWa’ HaMaShYa’ que tous les hommes en majorité rejettent, et même parmi quelques groupements des «chrétiens» qui prétendent pourtant le servir, il n’y a sur terre aucun autre nom qui ait été donné aux hommes par lequel ils devront, ils pourront être sauvés.

Celui qui avait dit, je cite : «Le 21ème siècle sera religieux ou ne sera pas », André Malraux, était bien inspiré pour dire cette parole. Où le monde accepte le Nom de YéShWa HaMaShYa’ et il sera sauvé de la Crise et de toute autre cataclysme matériel qui viendra s’abattre sur le monde bientôt, alors on se souviendra de cette génération comme celle qui avait accepté YéShWa’ HaMaShYa’ et l'avait laissé diriger toute chose. C'est dans ce sens là, que les enfants du vingt et unième siècle seront nommés, mais en Lui, dans YéShWa’ HaMaShYa’.

Croyons donc et sauvons pour nous le monde non seulement de la présente crise, mais aussi et surtout de la plus terrible catastrophe qui va s’abattre bientôt sur la terre: la destruction de tout l’univers matériel. Car la matière est arrivé à son terme et YéShWa’ HaMaShYa’, notre Créateur revient bientôt prendre les siens, ses adorateurs avant de changer la matière. Amen.

Mais que personne ne vous trompe, bien-aimés. Nul ne sait la date, nul ne sait le jour, l'heure que le Père éternel avait arrêtée d'avance pour cela. C'est pourquoi veillons et prions, et que tous ceux dont la foi est bâtie sur le rocher adore le Tout-Puissant!

Pour le jour de la fin, vraiment bien-aimé, que personne, s'enorgueillissant dans une fausse interprétation de chiffres de Dieu, ne vous trompe. La parole de Dieu, ce n'est pas la Kabbale. Soyons sages comme les vierges sages, obéissons et veillons tous les jours et tous les temps à ce que notre lampe ne s'éteigne pas et ne manque pas d'huile d'onction, c'est à dire que nous soyons en tout temps habités par le Saint-Esprit de YéShWa' et baignant dans le bain sanctifiant de sa Parole, pour que nous demeurions constamment dans le sein de sa Parole et à la droite du Trône de Dieu.

Que le Seigneur YéShWa’ HaMaShYa’ que j’adore par-dessus toute chose vous bénisse tous, richement, dans votre corps, dans votre âme et aussi dans votre esprit, qui est l'expression de votre personne unique en Lui.

Frère parmi les frères, 
Justin Jules SIMBA.