"Interpréter n'est pas seulement traduire d'un langage à un autre langage, ni non plus fixer le sens d'une parole en signification thématisée. C'est permettre que le sens se meuve et circule sous les expressions diverses et multiples qu'emprunte le langage pour lui donner corps et vie." Marc-Alain Ouaknin. Concerto pour quatre consonnes sans voyelles. Pages 207-3§, PAYOT 2003

vendredi 2 mai 2008

LES HOMMES DE L'OMBRE I

PREMIERE PARTIE

COEUR DE FEMME, CORPS DE DIEU

Lorsqu’un homme et une femme s’aiment sincèrement et qu’ils s’embrassent en se serrant très fort, l’un dans les bras de l’autre, c’est comme si l’on mettait ensemble deux tisons incandescents. Aussitôt ils flamboient. Leurs cœurs frôlent le trône du Très-Haut et la force spirituelle qui s’en dégage, en fait écho dans toute l’éternité. Les anges en sont émerveillés. Car l’amour leur est inconnu : c’est le cœur, c’est le sein de Dieu où il leur est interdit de pénétrer : Dieu en a donné l’autorisation à l’homme strictement par l’entremise du Christ-Jésus, notre Seigneur. Gloire à Dieu !

Dans l’étreinte parfaite de deux cœurs sincères, l’amour brille d’une irradiation dont la chaleur dépasse la lumière du soleil et les feux de l’enfer. Ni le tentateur, ni les ragots, ni le mauvais oeil, ne peuvent arriver à éteindre cette flamme. C’est dans cet état de perfection « sentimentale » que la bénédiction de Dieu dans une famille passe impérativement par la femme pour ensuite toucher l’homme et les enfants.

Telle est la loi éternelle qui régit les échanges spirituels entre le monde céleste et terrestre depuis le jardin de l’Eden. C’est pour cette raison que nous approfondirons ce sujet, si Dieu nous le permet en temps voulu dans un volume à part, qui sera intitulé: La place de la femme dans le plan éternel de Dieu. Nous avons vu dans la Bible, au chapitre trois du livre de la Genèse que le Tentateur était allé directement voir la femme, Eve, pour l’éprouver, au lieu de commencer par l’homme, Adam.C La stratégie du diable est celle qu’utilisent toutes les grandes puissances d’hier et d’aujourd’hui. Une grande armée, lorsqu’elle est en guerre, cherche, c’est vrai les points faibles de son adversaire. Mais les points faibles sont souvent dans les hommes les plus forts, ceux qui traînent derrière eux toute l’armée et qui leur donnent la victoire.

Cela d’ailleurs doit faire réfléchir tous les machistes fondamentaux et foncièrement religieux, tous les islamistes, tous les juifs, certains chrétiens traditionalistes qui en sont toujours au lait, certains hommes politiques et antiféministes de notre époque afin qu’ils revoient leur comportement vis à vis de la gente féminine. Parce que, selon la stratégie de l’esprit le plus rusé de tout l’univers, lorsqu’on s’engage dans une guerre, on ne vise pas d’abord les hommes plus faibles, mais les plus forts, les conducteurs des armées. Lorsque les chefs sont abattus, les armées, étêtées, se rangent, déposent les armes et se soumettent aux vainqueurs. Le diable n’avait pas failli à sa réputation lorsqu’il avait essayé de séduire de nouveau le Christ après son baptême. Car il dit au Seigneur « si tu es le Fils de Dieu… »

Donc il savait qui il était. Il savait qu’il était le Tout-Puissant. Mais suivant sa stratégie, il essaie de la faire tomber afin que tout le peuple lui soit soumis éternellement.

La femme est plus que ce que nous pensons, plus que ce à quoi nous avons toujours cru jusqu’alors. Nous devons donc, au nom de Jésus-Christ, le Seigneur, revoir certains enseignements reçus jusqu’alors à ce sujet.

C’est ainsi que, respectant cette loi éternelle, Dieu choisit encore une fille vierge d’Israël, Marie, vierge au même titre que Eve dans le jardin de l’Eden, née sous la loi mosaïque, pour sortir le Messie, le premier né des fils de Dieu, qui devait selon le plan de Dieu naître dans le jardin de l’Eden, avant que Adam et Eve eussent pu avoir d’autres enfants. Eve en effet était née sous la loi édénique qui leur interdisait, à elle et à Adam, de manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Ainsi, comme Dieu s’était reposé de son toute œuvre au septième jour de la création, Christ devait être le premier des enfants des hommes pour faire entrer toute l’humanité dans le Sabbat de Dieu, là où, à commencer par Adam et Eve, ils auraient eu leurs enfants qui, étant nés dans la lumière éternelle de Dieu, auraient été tous disciples de l’Eternel. Et Dieu, qui est le même hier aujourd’hui et éternellement, n’avait pas changé son plan éternel : il avait encore envoyé un ange voir la vierge Marie, comme il avait envoyé Lucifer voir la vierge Eve dans le jardin de l’Eden. N’est-ce pas frappant ces deux événements qui se répètent dans l’histoire biblique ?

Ainsi, Dieu nous a fait comprendre, Bible à l’appui, qu’il n’avait choisi le peuple d’Israël et qu’il ne l’avait fait traverser toutes les péripéties dramatiques de son histoire, que pour en sortir une fille vierge sous la loi afin d’en faire naître le Messie. Combien la femme est importante aux yeux de Dieu au point de mettre tout un peuple en chantier durant des siècles pour la faire sortir en cachette et ainsi proclamer sa gloire et sauver l’homme ! Bien aimés, quelle gloire pour le Seigneur que notre Sauveur soit entré dans le monde par la femme vierge ! Honte donc à Lucifer et ses anges !

En effet, quand l’Eternel avait demandé à Isaïe d’aller voir le roi Achaz dont le cœur avait été troublé par les bruits disant que les Syriens allaient assiéger la ville de Jérusalem pour la détruire, il lui avait dit de demander un signe pour preuve que les ennemis d’Israël n’assiégeront pas Jérusalem, la ville du Roi. Le roi Achaz avait eu peur de demander un signe. Et cela avait déplu à YHWH-L’éternel. - « C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe. Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d’Emmanuel. »C2

En apparence, il n’y avait aucun rapport entre le besoin immédiat du roi Achaz et la parole que Dieu avait dite. Mais en allant, plus au fond du problème que Dieu voulait résoudre, le Seigneur ne voyait pas seulement l’ennemi physiquement présent devant le roi d’Israël, mais l’ennemi spirituel d’Israël. Mais qu’est-ce que le peuple d’Israël. La vraie écriture est Ysh’RaH’El, qui signifie « L’homme [Ysh] qui combattra [Rah] aux côtés de Dieu [El’]. »

Parce que Jacob avait été testé dans sa vie réellement dans un combat singulier contre l’ange de l’Eternel. Il avait été jugé apte à combattre aux côtés de Dieu ou avec Dieu pour le salut de son peuple. Son nom donc avait été changé pour une destinée à la fois spirituelle et charnelle concernant le peuple qui était encore dans son sein. B

Le Seigneur, par la bouche du prophète Osée, va encore plus loin et est encore plus précis dans ce que j’ai avancé ci avant. - « Jacob s’est enfuit au pays d’Aram, Israël a servi pour une femme, Et pour une femme, il a gardé les troupeaux. Par un prophète l’Eternel a fait monter Israël hors d’Egypte, Et par un prophète, Israël a été gardé. »C3

Dans la traduction de la Bible de Louis Segond du 1910, le chapitre 12 du livre prophétique d’Osée est d’ailleurs injustement titré par les exégètes « Culpabilité des enfants de Jacob. »

Toute la vérité concernant la vie et l’œuvre de Dieu unique dont le nom YHWH-L’Eternel, est dans la Bible qui comprend la Tora et les Evangiles. YéShWa Ha MeShYa,C4 qui est l’incarnation de Dieu Lui-même nous a enseigné ses choses depuis le Livre de la Genèse jusqu’à sa naissance en passant par tous les prophètes. Il avait tout expliqué à ses disciples, ceux-là même qui nous ont rapporté sa vie et son œuvre dans les Evangiles.

Dans la Bible, Dieu nous parle en parabole. La vie même de Jésus est une merveilleuse parabole. Il nous parle d’une manière ou d’une autre, mais les hommes ont leurs esprits tellement, tordus par la philosophie et remplis des choses matérielles, des soucis de ce monde, ils croient tellement à leurs traditions religieuses séculaires, qu’ils ne voient pas en Christ la gloire de Dieu et n’entendent pas de sa bouche la Vérité pour le salut de l’humanité.C5 Certains évangélistes non plus n’y croient pas.

J’ouvre juste une parenthèse.

Je parlais avec un frère évangéliste de la Divinité de Jésus, lui affirmant que Jésus, YéShWa en hébreu, est Dieu. Il s’est incarnée par sa propre volonté sur terre dans le Christ, MeShYa, selon son plan éternel afin de sauver son peuple de la mort éternelle.

Après m’avoir vanté sa formation biblique, ce frère m’a dit qu’il avait lu la Bible de l’Ancien au Nouveau Testament, qu’il y avait vu trois personnes différentes, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, et qu’il n’avait vu aucun passage de l’Ancien Testament parlant de Jésus-Christ.

J’ai longuement regardé le frère, et j’ai eu énormément pitié de lui. Pourtant il était vraiment convaincu de ce qu’il disait.

Je lui ai demandé simplement de croire ce que je lui disais, sinon de relire la Bible en demandant à Jésus lui-même de l’éclairer par son Esprit. Frères, sœurs, la Bible n’est pas ma parole. C’est la Parole de Dieu. Lorsqu’elle avait été dictée aux prophètes et aux apôtres, je n’étais pas encore né. Je ne connaissais pas Dieu et j’étais aussi réticent pour croire ce que je vous dis. Mais l’Esprit de Dieu m’a enseigné ces choses. Comment expliquez-vous le fait que un homme qui, hier persécutait les disciples de Jésus et trayaient se dernier d’imposteur, change aujourd’hui et se mette à enseigner l’Evangile avec puissance et sauver des vies au Nom de Jésus. Telle a été l’expérience spirituelle de l’apôtre Paul qui nous dit dans 2 Corinthiens au verset 19 du chapitre 5 :

- « Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. »

Car l’Eternel qui a dit « Celui qui m’a vu, a vu le Père » n’a pas changé. Il est le même hier aujourd’hui et éternellement. Et c’est lui qui dit aussi aux pharisiens « Quand vous aurez élevé le Fils, vous saurez que Je Suis. » C’est aussi Lui qui a dit à Moïse « Je suis L’Eternel, Celui qui s’appelle Je Suis. »

S’il y a quelqu’un qui veut contester, qu’il le fasse dans la vérité. Dieu qui est la vérité-même. Il est témoin entre lui et nous. Et le Saint-Esprit seul attestera que Dieu est vrai dans ce qu’il nous fait dire au travers de cet ouvrage au nom de Jésus. Ici, j'aurai pu dire "moi", mais je dis "nous", puisque je ne suis pas le seul à connaitre ces choses. Je sais qu'il y en a d'autres frères et soeurs partagent aussi cette vérité avec moi, mais qui, ne voulant froisser personne dans leurs communautés - ce que je comprends aussi par amour pour les faibles - préfèrent se taire. Mais seul le Seigneur nous dira s'il est l'heure de se taire alos que le diable est entrain de décimer des vies en propageant le mensonge!

Les noms en général doivent être gardés tel quel. Même si l’on traduit un texte, les noms sont intraduisibles car ils portent en soi l’essence fondamentale même de la personne qui les porte. Nul ne doit pas y toucher normalement. C’est pourquoi de l’hébreu au français, l’unique nom de Dieu et ses attributs ont dans certains cas perdus leurs valeurs premières et très significatives. Le nom de «Jésus » qui ne veut rien dire pour un juif, est tout de suite apparenté au catholicisme. Mais si nous lui disons à un juif qu'Il s'appelait « YéShWa », il va bien réfléchir avant de nous répondre. Car le second nom a plus de signification en soi. C’est pourquoi depuis que Dieu nous avait révélé le nom véritable de Jésus en hébreu, nous l’avons toujours adoré sous son vrai nom « YéShWa Ha MeShYa», qui signifie simplement "Jésus Le Christ". C'est Lui, le Dieu de gloire, notre bénédiction. Amen.

Je sais que beaucoup, parmi nous, serviteurs de Dieu, pasteurs, évangélistes, diacres, prophètes, ou que-sais-je encore, croient en la sainte trinité, selon qu’il y aurait trois personnes distinctes en un seul Dieu.

Frères, sœurs, je vous le jure, au seul et unique Nom de Celui qui s’est manifesté comme Père d’Israël C8 à l’exemple d’Abraham, comme Fils à l’exemple d’Ysaak et comme Saint-Esprit à nous qui nous sommes faits baptiser en son Nom dans un cours d’eau, après l’avoir accepté dans nos cœurs comme Seigneur et Sauveur, au Nom de YéShWa Ha MeShYa, selon sa promesse qu’il avait faite de répandre son esprit sur toute chair C6a , de ne jamais nous laisser orphelins. C6b

Que chacun demande au Seigneur, il le convaincra de ce qu’Il est Dieu. Il vous expliquera pourquoi il s’est fait « Fils » dans une chair d'homme et aussi pourquoi Il est avec nous à présent comme Saint-Esprit jusqu'à la consommation de temps selon sa promesse: "Je serais avec vous jusqu'à la connsommation du temps!".

« Car plusieurs séducteurs sont entrés dans le monde, nous dit l'apôtre Jean, qui ne confessent point que Jésus-Christ, qui est le même hier aujourd’hui et éternellement, est venu en chair parmi nous. Celui qui est tel, c’est le séducteur, l’antéchrist. »C7

Avant de fermer cette parenthèse, je vous convie de lire jusqu’à la fin le Livre de l’Apocalypse. A la fin, Le Dieu Très-Haut s’identifie et se révèle à nous sans fard, clairement. En effet, Il dit au verset 16 du chapitre 22 « Moi, YéShWa, Jésus donc, J’ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses dans les Eglises. »

Frères et soeurs, considérons la conversion de l’apôtre Paul, Saûl de Tarse. Lui qui combattait et persécutait les disciples de YéShWa parce qu’il estimait que c’était, selon la loi de YHWH, une bonne chose que de combattre des imposteurs, a rencontré YHWH, le Dieu d’Israël, sur le chemin de Damas. Mais à sa question "Qui es-tu Seigneur...?" pour savoir qui était celui qui se mettait au travers de sa route pour l'empêcher d'accomplir la volonté de YHWH, ce dernier lui dit « Je suis YéShWa que tu persécutes… » Comme nul homme, nulle créature ne peut empêcher Dieu d'accomplir sa volonté, - il n'y a que Dieu Lui-même en effet qui peut arrêter la main qu'Il a lui-même armée pour accomplir sa volonté, L’apôtre Paul était dès lors convaincu que Jésus était le Dieu d’Israël. Et il a marché sans regimber sur les aiguillons dans le nom de Jésus pour plaire à son Dieu. Et il nous le dit: "YHWH-Dieu était dans Ha MeShYa pour réconcilier le monde avec Lui-même!" Amen!

Frères et soeurs,

Aucune formation biblique, aucun séminaire théologique ne peut vous enseigner et vous éclairer autant que YHWH lui-même par son esprit pendant votre lecture de sa Parole, de la Bible. Si vous y mettez votre foi sincèrement, Dieu vous révélera des choses cachées. C'est là la réalité de la Sainte Cène quand Il dit: "Voici, je frappe à la Porte (c'est celle de notre coeur). Si quelqu'un entend ma voix, il m'ouvre, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui et lui avec moi!" Amen.

Un frère ou une soeur enseigné par l’Esprit de Dieu dans un culte personnel, constant et assidu, est plus spirituel qu’un frère qui viendrait avec tous les diplômes récoltés dans un centre de formation biblique, en nous assommant des versets bibliques comme les catholiques égrènent entre les doigts les chapelets en marmonant sans aucune conviction et de façon rituelle l'Ave maria.

C’est ne pas pour dire que les écoles bibliques doivent fermer leurs portes, loin de là puisqu'elles ont eur utilités. Seulement beaucoup privilégient ces genres d’enseignements au détriment d'un culte personnel et assidu en comptant que su Dieu qui révèle les choses cachées. Beaucoup pensent que seuls ces diplômes leur procurent la vraie connaissance des choses de Dieu. Mais si c’est la volonté de Dieu que disparaissent certaines écoles bibliques qui bâtissent leurs enseignements sur la soif de l’argent, pourquoi pas ? J'ai été à la faculté de Théologie pour devenir prête, je vous assure que pendant 2 ans, j'ai plus appris sur les philosophes qui nient l'existence de Dieu, ceux qui la mettent en doute, ceux qui croient à la théorie de l'évolution darwiniste, que la parole de Dieu. Même que, pour la Théologie catholique, la création selon le Livre de la génèse est un mythe fabuleux comparable aux contes mythiques de Gilgamesh. Vraiment pathétique et malheureux pour des gens qui disent servir Dieu.

Le Seigneur nous dit quelque part dans la Bible: « Que celui qui manque de sagesse, qu’il la demande simplement sans douter. » Et le Seigneur qui est riche de coeur la Lui donnera ainsi qu'Il l'avait au roi Salomon.

C’est pourquoi, ayez un culte personnel avec Dieu, des moments privilégiés avec Jésus, des moments intimes où vous parlerez à votre père des choses qui ne concernent que vous deux. Dans la lecture de la Bible. En cherchant le sens des mots, en luii posant des questions comme s'il était là avec vous, puisqu'Il est là avec vous même si vous le voyez pas.

Est-ce que nous voyons le sang qui circule dans notre corps? Non. Mais il est là et il circule. La preuve, nous vivons. C'est de même. Le Seigneur est là. Croyez sans douter. Et vous verrez la gloire de Dieu dans votre vie.

Quelle était l’attitude du disciple que le Seigneur aimait ? N’est-ce pas qu’à l’instar des autres disciples, il mettait sa tête dans le sein de Jésus. Il était toujours fourrés dans les « basquets » de son Seigneur, comme diraient les jeunes d’aujourd’hui. Jean 13, 23. Et c’est ce disciple-là qui nous a écrit des choses très capitales concernant la divinité même de Jésus dans son Evangile, dans ses épîtres et dans le Livre de l’Apocalypse. Jean 21, 24 ; 1 Jean 1-3 ; 3, 16 ; 5, 20. Apocalypse 1, 1. Voilà là des choses qu'Il avait entendues à cause de sa proximité avec son Maître. Plus on s'approche de Dieu, plus sa lumière, sa sagesse nous éclaire. Paul rompu par les jeûnes repetés, avait même sur luii les marques de Christ. A tel enseigne qu'il était identique à Christ. Le disciple n'est pas plus grand que son Seigneur. ce qu'ils ont fait au Maître, ils le feront sûrmebnt aux disciples de même!

Ne dit-on pas que plus on s'approche de sa femme, mieux on la connait?

Fermons la parenthèse et revenons à nos spirituels moutons.

De Dieu donc, disais-je dans les pages précédentes, la baraka, la très haute bénédiction vitale de Dieu, doit passer impérativement par la femme pour ensuite toucher l’homme qui l’attend avec foi en Jésus. Et de même, de la terre, nos prières, nos louanges, nos bonnes actions doivent passer impérativement par Christ, l’Epouse, « Parole de Dieu » faite chair, pour être reçues favorablement par Dieu, l’Esprit.

Mais quand l’amour, qui devrait unir deux cœurs, est encore inexistant, ou, si cet amour est faux, c’est à dire non établi sur la vérité dans le plan éternel de Dieu, les méchantes langues, les langues meurtrières en profitent pour semer le mensonge dans le cœur de la femme afin que les étincelles de la passion vraie et éternelle, preuve de l’amour ineffable du Très-Haut, ne les touchent pas et ne touche pas leur progéniture.

C’est ça, l’œuvre du diable. « Il a été meurtrier dès le commencement, nous dit le Seigneur, et il ne se tient pas dans la vérité parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge. »C6

S’il faut tirer une conclusion sur tout ce que je viens de dire ci-haut, nous comprenons la chose que l’ange Lucifer avait par son mensonge empêché aux hommes de recevoir de Dieu à travers de la fille vierge de l’Eden, Eve. Et Dieu nous l’a donnée au travers de la vierge de Nazareth, Marie, par la vérité transmise par un autre ange fidèle, Gabriel. L’Amour. L’apôtre Jean dit qu’il a connu l’amour, en ce que l’amour a donné sa vie pour nous…

Car la Bible nous dit que Dieu a voulu qu’en toute chose, Christ fût « l’Alpha et l’Oméga. » Je vous demande, chers lecteurs, de laisser ce livre de côté un instant car il ne sert de rien, mais de prendre votre Bible à chaque référence mentionnée et la lire. Lisez donc l’épître de Paul aux Colossiens au chapitre 1, du verset 15 au verset 19, en consultant, s’il vous plaît, toutes les références notées à la fin du verset, si votre Bible en a.

Frères, sœurs, je crois par le nom de Jésus, mon Seigneur, en vertu de son sang versé, de sa mort et de sa résurrection d’entre les morts que si vous avez entre vos mains cet ouvrage aujourd’hui, c’est que Dieu vous a choisi pour qu’il accomplisse des grandes choses à travers vous. Ainsi donc si l’esprit vous en dit, maintenant, mettez cet ouvrage de côté et levez-vous, louez Jésus, chantez pour lui des chansons d’amour, dites lui votre amour, parce que, lui, il vous a aimé avant toute chose pour l’éternité. Faites-le pour votre bien.

L’amour est beau. Tout le monde est d’accord. Il y a d’ailleurs un spot publicitaire français où une belle petite-fille clame à sa mère:

- « Tout ce qui compte, c’est l’amour. »

La beauté même est une des expressions extraordinaires de l’amour. Il faut donc aimer, aimer parfaitement pour se voir grandir, mûrir et vaincre le monde.

Ainsi, j’aimerais que les airs doux, secrets et inaudibles que chantonnent à l’unisson les cœurs des vrais amoureux, vous touchent. J’aimerais que les sanglots entremêlés de joie et de tristesse de deux cœurs embrasés d’une passion pure, sainte et éternelle, prennent tous vos sens. J’aimerais que l’élan spirituel prodigieux qui les emporte par le désir sain, simple et innocent de donner et de vivre l’amour, pour parfaire l’humanité, vous enchante. J’aimerais que leurs halètements étouffés par le ravissement d’un innommable plaisir, plaisir qui exprime l’indicible envie de fusionner et dans la chair et dans l’esprit dans le réel, dans le vrai et pour l’infini, j’aimerais que leurs soupirs qui résument dans des simples souffles, exhalés avec autant de force que de chaleur, des prières, de l’espoir, de l’émotion, de joies, du bonheur et aussi les regrets de n’avoir connu sitôt ces somptuosités sentimentales, vous soient révélés… Les deux amoureux dont je parle ici, bien aimés, c’est l’Esprit et la Parole, l’Epoux et l’Epouse, Dieu et son Christ. Apocalypse 22, 17 ; Ephésiens 5, 32. Sachant que nous sommes en Christ, dans son Corps, et Christ est en Dieu. Dieu est amour. Et dans cet amour, Christ qui est l’expression de l’amour du Père envers nous qui croyons, ses véritables enfants, il a donné sa vie pour que nous ayons la Vie. Il a tellement aimé les hommes qu’il a donné sa vie pour que nous ayons sa haute bénédictions, la vie éternelle.

Quel plaisir, en effet que d’aimer et de donner en se sachant que ce que l’on donne, sauve l’autre et le rend heureux ! Quel désir de donner, et donner encore et plus, lorsque l’on ressent dans l’autre, le même désir de partager ce qu’il vient de recevoir afin que plusieurs soient sauvés et bienheureux!

J’aimerais simplement, chers frères et sœurs, terriens, que les mots doux à peine murmurés que deux cœurs des célestes amoureux se disent dans le silence de leurs regards tout bêtement divins, et qui ne peuvent être entendus que par ceux qui ont le cœur dans Christ-Jésus et qui, le jour où l’amour est venu à frapper à leur porte, ont offert leur cœur pur et mûr comme le plus beau cadeau que l’homme peut offrir à son éternel Seigneur, sans se demander pourquoi, comment, ni jusqu’où… Je voudrais que ces susurrements doux, légers et vaporeux de l’Esprit Saint, Rouah Kodesh, vous touchent, vous ravissent et emportent votre âme au large de cet espace commun aux êtres et aux choses, au-delà de l’univers, non pas dans votre sommeil, mais qu’ils vous transportent très loin, aux confins des ciels cosmographiques, dans l’éternité, à la rencontre du plus beau, du sublime, de l’ultra parfait, de Dieu, de l’Amour.

Pour cela, vous n’avez qu’à fermer les yeux.

Un instant : imaginez l’amour parfait de Jésus, vous envahir, de la plante des pieds jusqu’au cuir chevelu. Avec vos hésitations et vos doutes, laissez votre esprit imaginer un amour aussi parfait que possible. « Viens, viens, viens, Seigneur Jésus, » dites-vous au plus profond de votre cœur et avec foi et conviction. Tout à coup, vous avez la chair de poule. Et une chaleur d’intensité grandissante vous envahit au fur et à mesure comme si l’on vous plongeait doucement corps et âme dans une mare d’huile à peine plus tiède. Vos nerfs s’éveillent et vos muscles sont secoués par des spasmes comme si vous entriez en transe… Les yeux toujours fermés dans le noir, un petit point lointain s’éclaire à l’horizon et grandit flamboyant en progressant d’une douceur divine vers vous jusqu’à devenir une grande et incandescente lumière. Vous avez subitement peur et l’envie d’ouvrir les yeux vous prend. N’ayez pas peur et n’ouvrez pas les yeux pour voir la réalité. C’est en esprit que ça se passe, c’est l’amour parfait qui vient à vous pour vous combler, c’est Dieu lui-même qui veut vous combler comme vous le lui avez demandé au plus profond de votre cœur sans le savoir. Car dans tout être humain, même si nous refusons de l’accepter, il y a un besoin profond de vivre l’amour véritable pour l’éternité. Quiconque croit au Fils et invoque son nom, a la vie éternelle.

La vérité, ça marque toute une vie. Car je ne parle pas d’un rêve ici ; je parle de la vérité éternelle que Dieu a mise dans chaque homme pour la vivre éternellement en Christ, notre Seigneur.

Ne pensez pas qu’un prince charmant ou une princesse shakespearienne est capable créer en vous une parfaite pâmoison. Celle que j’ai croisée ou qui m’a connu, m’ayant choisi dans son plan depuis avant la fondation du monde afin que je fasse, entre autres choses, ce que je suis entrain de faire au travers du présent ouvrage, n’était pas une princesse de conte de fées. C’était la femme parfaite dont toutes celles que l’on croise dans la vie, tiennent leur origine. Pauvre dans son apparence, mais riche de cœur et capable de vrai amour. Simplement. Et c’est de cet amour simple, mais vrai et riche, c’est de cette puissance que je vous entretiens. Car l’amour est une puissance. Et cet amour, c’est YéShWa Ha MeShYa de Nazareth.

Frères, sœurs, nous avons connu l’amour en ce qu’il a donné sa vie pour nous. Je le crois et je le confesse et le crie bien haut sur le toit pour que ceux qui entendront, ceux qui liront cet ouvrage, puissent-ils, si c’est cela la volonté de Dieu, être bénis, guéris, convertis, changés, transformés en des hommes et femmes spirituelles, enrichis, et parfaits dans les limites spirituelles imparties à leurs chairs dans le Corps de MeShYa.

D’ailleurs, les princes et les hommes riches de la terre, ne seront, ni aujourd’hui, ni demain, capables de vrai amour sans faire des calculs sur leurs deniers. C’est dommage pour les hommes et femmes au cœur simple et fragile que de vivre sur terre un rêve extraordinaire d’amour, de gloire, de richesse et de beauté, et de se réveiller un jour en plein désarroi et de se découvrir délaissés, abandonnés sons soin, sans amour, nus pauvres, sans gloire et dans la laideur de l’existence. La princesse Diane, comme beaucoup d’autres hommes et femmes de la terre, en a fait les frais. C’est une triste expérience que d’être homme sur cette terre, et riche en plus.

Alors, une âme avertie en vaut deux : ne visez pas les princes, ni les princesses de la terre. Jeunes filles, jeunes hommes, espérez et attendez l’amour vrai, et seulement l’amour vrai et sincère qui est en Christ, l’amour vrai et sincère qui est Jésus, Dieu lui-même. Et, dans la mesure où vous l’invoquez, que vous l’appelez à votre secours, il viendra à vous au moment opportun, lorsque vous n’y croirez plus du tout, lorsque votre patience commencera à piaffer d’impatience, lorsque votre faiblesse de cœur commencera à vous agacer sérieusement, lorsque vous commencerez à penser et à confesser que les autres ont plus de chance que vous. Dans ces moments là, bien-aimés, ne regardez pas dans la rue de peur que les ragots, les mensonges vous emportent loin de vos espérances.

Fermez simplement les yeux et pensez fortement à l’amour vrai et à Dieu qui est amour, même si vous n’y croyez pas ou plus. Et Dieu qui est amour, appalez YéShWa Ha MeShYa, viendra à vous. Là, le frère Jules ne délire pas. Et pour autant que je dise vrai, je mettrai ma main à couper et donnerai mon cœur à rôtir en enfer, si Dieu qui est amour ne vous répondait pas dans votre sincère requête et patiente attente au nom de YéShWa. A la seule condition que vous croyiez que YéShWa Ha MeShYa et l’amour ne font qu’un. Et que vous l’appeliez à votre secours, même si apparemment vous n’êtes pas en danger. Car, pour ceux qui pensent qu’ils n’ont rien à craindre, je vous le dis et je le répète, le danger est plus spirituel que matériel. Si vous avez l’assurance spirituelle en Jésus, vous êtes couvert d'une assurance éternelle sur vos biens et votre famille. L'assurance du monde ne sera qu'une formalité selon le monde. Les gens du monde vous diront le contraire, car c’est là un moyen pour vous ponctionner votre argent. Car Le Seigneur avait dit à Israël, si vous mettez un roi pour chef au dessus de vous, vous travaillerez pour lui et il aura autorité et pouvoir sur vos biens et vos vies. 1 Samuel 8. Et je ne dirais pas autre chose que ce que le Seigneur a dit "Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est Dieu..."

- Que cela vous fasse rire, mesdames, mes sœurs, croyez-moi, messieurs, mes frères, je ne délire pas.

Car ici-bas, hélas ! Nous ne pourrions réellement toucher les divers ciels, nous ne pourrions aller au-delà de l’univers pour espérer vivre le vrai et parfait bonheur des vrais amoureux, que les pleurs des nôtres et les tintements du glas résonnent lourdement sur nos pouilleuses dépouilles charnelles. Et même, nous ne savons pas dans quelle éternité nous irons. Avec Jésus, le Seigneur, ou avec Lucifer et ses anges ?

Mais l’amour de Dieu est vivant. Il l’est pour ceux qui sont encore vivants afin de le faire entrer dans le sabbat de Dieu de leur vivant pour l’éternité. Il est vivant pour ceux qui sont morts avant le jour de sa chair dans l’attente de ce jour afin de les faire entrer dans son sabbat pour l’éternité. Car tous ceux qui sont morts sans amour, tous ceux qui sont morts sans espérer l’amour, sont morts pour leur propre déshonneur. C’est la Parole de Jésus, ce n’est pas la mienne.

Dans nos esprits, le verbe « aimer » existe dans son concept. Dans nos bouches, sa conjugaison se décline à tous les temps, du parfait à l’imparfait, jusqu’au plus-que-parfait. Mais, le passé n’étant plus que passé, c’est le présent qui fait défaut pour les vivants, et l’avenir s’en trouve corrompu. La réalité visible ne correspond pas à la vérité cachée.

Au présent l’amour entre les humains est inexistant sur terre ou est simulé. Et toutes leurs conjugaisons du verbe « aimer » sonnent faux car elles ne correspondent pas la Vérité éternelle.

Au futur, nul ne sait de quoi sera fait demain. Rien n’est sûr. Alors, certains disent :

- Vivons et profitons de la vie. Si ça ne va pas, chacun avisera pour lui-même.

Mais détrompez-vous. Dieu sait ce qui va se passer dans l’avenir. Il n’y aura pas d’avenir pour ceux qui meurent loin du Seigneur et sans le Seigneur, il n’y aura pas d’avenir pour ceux qui n’ont pas d’amour pour les autres. Car le Seigneur, c’est l’Amour.

Plus que parfait, c'est quoi, étant donné que le parfait n'est déjà pas de ce monde? C'est le Seigneur. IL est à la fois arfait, sans tâche et même Plus que parfait! Amen!

Les hommes ne s’aiment pas entre eux. Ils font semblant d’aimer et d’aider d’une main, pendant que l’autre main soutire par une autre voie ce qu’ils viennent de donner. Avec des douces paroles, ils tuent leurs semblables. Peut-on faire semblant d’aimer. Les hypocrites de l’amour sont des vrais lâches. Ils ne s’aiment pas eux-mêmes, et ils prétendent aimer les autres. Pauvres religieux, vous qui allez partout dans le monde éparpillant votre argent dans des œuvres soit-disant bonnes pour aider les pauvres, les orphelins et les veuves, alors que vous reniez le Dieu de l’Evangile qui a crée le ciel et la terre ! Vous qui allez partout prêchant l’évangile pour le salut des âmes, et qui reniez le sang de l’alliance versé pour les salut des hommes ! Vous croyez que vos bonnes œuvres vous sauveront, mais hélas! Dieu n’a pas bâti sa maison sur des bonnes œuvres seulement. En effet, les bonnes œuvres de Jésus sont bâties sur l’œuvre de sa croix, preuve de son ineffable amour pour le salut de quiconque croit.

C’est pourquoi, ainsi dit l’Eternel, l’œuvre de la Croix est une œuvre capitale, sans laquelle vous ne pourriez rien faire !

Au nom de YéShWa Ha MeShYa, je vous asperge du sang du Christ versé sur la croix, afin qu’il vous purifie pendant cette lecture et renouvelle votre intelligence.

Sur terre, les personnes riches se croient plus puissantes à l’égard des celles qui sont, d’apparence pauvres. Mais en fait, ce ne sont que de la bale, du foin inutile. Ils sont destinés à être brûlé au feu de l’enfer s’ils ne changent pas leur vision de choses en Jésus qui est riche de cœur.

J’aime la richesse de cœur, plus que la somptuosité des palais terrestres. La luxure, c’est une débauche de l’opulence. Découvrir, dans la quiétude d’un homme ou d’une femme simple, une grande sagesse, c’est une grande trouvaille. Tel homme est rare, telle femme est précieuse. L’homme ou la femme qui craint Dieu et qui a foi en Lui par le Christ. Telle personne est sur la véritable voie. Voilà le « vrai trésor! »

Aucun commentaire: